Jeudi 12 décembre, 18 Isards de Saint Girons se retrouvent sous la halle de Cazavet. Le temps est un peu nuageux certes, mais pas trop frais.
Ils attaquent la boucle de 4km500 avec un dénivelé de 140m m pour 2 h 15, pauses comprises. Tranquillement, ils font le même trajet qu'il y a 3 ans mais en sens inverse. Ils traversent le hameau Cazaux, village du bout du monde. Un petit lavage de chaussures et les voilà à l'assaut des ruines du château du XIIème siècle par un sentier vraiment rocailleux. Une pause les fait admirer la vue environnante.
Et après une séance photo, ils descendent par un chemin plus cool, plus large, quoique ... rejoignent une route qui les mène aux halles de Cazavet.
Il a tellement plu qu'il ne leur a été pas possible d'aller voir la perte de la Gouarège. Ce sera pour une autre fois. Maintenant, place au goûter devenu traditionnel et en ces temps de fêtes devant la crèche.
Jeudi 5 décembre par une très belle journée, un peu fraîche et une lumière exceptionnelle, 26 Isards se retrouvent à Caumont.
Bienvenue à Julien.
Aujourd'hui, c'est une rando inédite. Ils empruntent la voie verte coincée entre la départementale et le Salat. Ils passent dans un tunnel sous la route pour ensuite traverser le hameau Sucre. Surprise : la carte de la Corse entre 2 flaques !!! Le chemin est large mais boueux. Ils en ont vu d'autres ! Un grand sieur les surveille : le Pic du Midi de Bigorre. Autre surprise : une terrasse dans les arbres ! Quel bel endroit pour un goûter !
Ne rêvons pas. Comment y accéder? !!!
Personne ne veut rivaliser avec Tarzan ! Ils traversent un bois avec des troncs d'arbres à enjamber ou contourner. Chacun fait ce qu'il peut.
Enfin, ils arrivent au castrum , ancien village fortifié datant des XIIe et XIIIe siècles, avec les ruines de la forteresse, les logettes et la tour du donjon . La vue est époustouflante avec un autre sieur, le Valier et ses vassaux. Puis, c'est la descente jusqu'au parking et vite, vite, ils s'installent pour déguster les gâteaux d’Élisabeth, de Sophie et des chocolats de Chantal, le tout bien arrosé. Ils méritent bien cette pause après une balade 6km100 avec un dénivelé de 115m qui a duré en tout 2h20.
Jeudi 28 novembre , par une très belle journée et une lumière exceptionnelle, 23 Isards se rejoignent à Engomer. Ils souhaitent la bienvenue à Huguette qui vient "tester ce groupe".
Espérons qu'ils vont être sages !!! Après avoir passé le pont sur le Lez, ils empruntent un sentier large dans un sous-bois de hêtres magnifié par la lumière qui filtre au travers des branches dénudées. De nombreux lacets les mènent jusqu'à la maison de Baoussot.
Le four donnant sur une terrasse attire leur attention, ainsi qu'un petit troupeau de chèvres. Ce four depuis transformé en barbecue avec des bancs, des tabourets posés en arc de cercle aiguise leur imagination ; ils pensent aux anciens racontant les légendes ariégeoises.
Une photo et tout le monde redescend par le même chemin. Cette balade,faite il y a 3ans, est un aller et retour de 3km800 d'un dénivelé cumulé de 250m.
Elle a duré en tout un peu plus de 2h. Tout le monde s'installe sur le muret pour profiter des derniers rayons de soleil encore chauds tout en goûtant la tarte de Michel et un gâteau de Sophie, le tout arrosé de cidre et de jus de pomme. À jeudi prochain avec le nouveau programme de décembre.
Une accalmie de la pluie en cet après-midi du jeudi 21 novembre permet à 18 Isards de faire leur balade hebdomadaire. Ils partent de Mauvezin de Prat (village connu au XIIème siècle et surtout au XVIIème et XVIIIème siècles) à 15km de Saint Girons. Ils s'élancent sur la route montant à Francazal en Haute Garonne dans le Comminges, Ils osent s'expatrier !!!
Francazal tient peut-être son nom du régime particulier dont il a joui durant des siècles. Franc : comme zone franche - Casal : ce mot désignait aux XIIème et XIIIème siècles en Gascogne, un domaine agricole de petite ou moyenne importance, comprenant champs, prés, vignes, bois, etc.).
Ils arrivent à Saleich Vieille, près de Saleich chargée d'histoire depuis la préhistoire, l'antiquité jusqu'à des jours récents. C'est l'occasion de (re)découvrir les belles maisons commingeoises. Un lavoir derrière une porte coulissante attise leur curiosité ainsi qu'une petite bambouseraie tout à côté.
À la sortie du village, ils empruntent sur la droite un chemin herbeux qui, peu après, s'enfonce dans un sous-bois avec une végétation fantasmagorique digne du film "Le seigneur des Anneaux" sans toute fois passer sous des barbelés. Enfin, ils arrivent près de leurs véhicules. Ils ont randonné dans un paysage verdoyant, vallonné, vraiment bucolique et pourtant peu ensoleillé mais avec une température modérée.
Ce circuit de 7km300 a duré en tout 2h15 avec un dénivelé de 185 m. Vive le goûter ponctué par des chants orchestrés par Christine. Sophie se met à entonner un vieil air, alors le ciel se fâche et déverse la pluie qu'il retenait depuis quelques heures !! Départ précipité !!!
Jeudi 14 novembre : une belle éclaircie après plusieurs jours de pluie. 21 Isards partent d'Argein, un des villages de la vallée de la Bellongue sur la route du col du Portet d'Aspet. I
ls arpentent une route vers Villeneuve tout en longeant une "marée" de gaines d'ensilage : au moins 5 rangées de plusieurs dizaines de mètres de longueur. Il est vrai que de nombreux troupeaux de bovins et ovins paissent dans ces prairies adjacentes. Ils ont du fourrage pour l'hiver !!! Nos Isards traversent Villeneuve, village certainement plus animé en été. Certaines maisons sont en restauration.
Ils grimpent et sillonnent à travers les prairies jalonnées de centaurées. Ils continuent ainsi entre prairies et bois où les couleurs de vert et de marron se mélangent.
Et, tout à coup, en contre-bas : des formes les interpellent ! Des rochers, des gros cailloux, des champignons, voire des ruches ... Édyth prend ses jambes à son cou, descend et remonte en courant avec à la main ??? UN CHAMPIGNON !!!! Un clitocybe en entonnoir. Ils traversent ensuite Aucazein et au loin, ils devinent le parking et surtout une table de pique-nique qui en l'occurrence sera une table de goûter !!!
Ils profitent bien de cet ensoleillement avec les gâteaux de Sophie et de Sylvie mais le soleil s'éclipse derrière une montagne. Avec regret, les Isards se quittent après une boucle de 5km600, un dénivelé cumulé de 160m qui a duré en tout 2h10.
une belle journée "printanière" ! 24 Isards se retrouvent devant l'école de Lescure. Ils vont faire une randonnée qu'ils ont déjà effectuée certes mais avec un cheminement différent. Ils commencent leur errance par la voie verte puis traversent la route St Girons Foix. Un sentier les mène au château d'eau. Sur la route qui passe par Pobusca : objectif en vue ! Cap sur le clocher de Noguès qu'ils atteignent peu de temps après. Clocher en brique dont le rez-de-chaussée est voûté d'ogives. De base carrée, il devient hexagonal sur deux étages percés d'ouvertures. Certains s'assoient sur un des 2 bancs offerts à la commune de Lescure par l'association ariègeoise de St Jacques de Compostelle. Le deuxième se trouve à la mairie. Puis, ils traversent le cimetière attenant à cette église du 12ème siècle qui a servi comme lieu de culte jusqu'au milieu du 19ème siècle et le cimetière fut utilisé jusqu'au début du 20ème siècle. Ils profitent d'un moment de sérénité, de calme et d'apaisement au milieu de ces tombes dont certaines en ces temps de novembre sont fleuries. Ils repartent par le chemin de St Jacques sous la surveillance du seigneur Valier. Après une petite visite de l'église actuelle de Lescure, ils retraversent la route pour retourner à l'école. Et, c'est l'heure du goûter pour petits et grands ! La balade de 6km120 avec un dénivelé de 150m a duré en tout 2h15.
Le soleil tant annoncé n'est pas de la partie mais la température est clémente. 20 Isards sont présents dont Martine. Bienvenue dans le club. Ils sont devant l'ancien hôtel des Thermes d'Audinac les Bains sur la commune de Montjoie. Avant d'entamer le circuit, ils vont (re)voir la stèle érigée en 2006 juste à côté en commémoration des enfants de troupe morts pour la France étant passés par le centre d'éducation Bayard logé dans cet hôtel de 1941 à 1944. Ils entament le circuit en prenant la route de Montesquieu-Avantès qu'ils quittent peu après. Le fidèle Sieur Valier les surveille. Un ruisseau à franchir trace son chemin vers la doline Pujaou. Une doline peut ressembler à de petites cuvettes comme à un trou béant aux parois verticales et abruptes, et former des étangs quand de l’eau s’y accumule. Une barrière, une petite montée pour enfin descendre sur un terrain de cross prudemment : le chemin est schisteux. Ils arrivent à Audinac du bas, retraversent la route de Montesquieu Volvestre, le quartier La Perdère, traversent la route de Saint Girons vers Mérigon et les voilà sur le côté gauche en file indienne sur 100m jusqu'au parking. Cette boucle de 5km800 avec un dénivelé de 200m a duré 2h25, pauses comprises. Maintenant place à la convivialité avec la complicité du soleil enfin revenu. De nombreux gâteaux sont appréciés tout en buvant du cidre ou du jus de pomme, voire de la bière, le tout bien frais ! Et, les voilà qui entonnent en chœur des vieux airs !!!
Après, les "trombes d'eau" du mardi précédent, le mercredi ne valant pas mieux, 13 Isards avec 3 "éterles" se retrouvent au départ de la randonnée pour la Tête d'Âne pour la 4ème fois mais à des saisons différentes.
Le paysage n'est pas le même. Cependant, quel bel après-midi !!! Ensoleillé et même chaud. Le régal !!! Ils entament leur rando par une courte mais raide montée très ombragée jusqu'à l'arrivée sur un plateau bien dégagé qui leur offre une vue splendide sur 360° avec au sud la chaîne du Couserans avec le sieur Valier et au nord la plaine de Saint Girons, voire beaucoup plus loin, tant la visibilité est nette.
Un parterre de colchique les accompagne jusqu'à la Tête d'Âne culminant à 819m où une pause les réconforte. Puis, ils descendent par un chemin à peu près bien dégagé dans ce paysage du piémont.
Ils retrouvent le pré qui les ramènera devant la fameuse boîte aux lettres faite de bric et de broc qui fait la joie des grands et petits. Un chemin carrossable leur permet d'atteindre l'aire de pique-nique et le panneau d’interprétation. Une table les attend pour le goûter et les voici à converser tranquillement. Il fait toujours beau avec cette petite bise bien agréable au soleil.
Il fait trop beau mais on doit s'en aller ....
Et, descendre par la route ce qui n'est pas marrant surtout quand on suit l'animatrice qui se trompe !!!
Cette balade de près de 6km avec un dénivelé de 240m a duré 2h20 sans la pause goûter !!!
Jeudi 3 octobre, 15 Isards se donnent rendez-vous sous la halle de Cazavet.
Ils accueillent Dominique, une nouvelle Isarde. Ils vont faire un circuit fait le 15 octobre 2020 mais cette fois-ci en sens inverse. Ils longent la Gouarège qui aujourd'hui est une rivière tumultueuse qui les empêche d'en voir sa perte : trop d'eau. Dommage. Le temps est beau après le déluge de la veille.
Toujours, cette baraka avec la météo !
Ils remontent par la route en passant devant une ancienne carrière de marbre envahie par la végétation aux dimensions modestes, environ 40 mètres de long sur une dizaine de mètres de large pour une hauteur maximale d’une dizaine de mètres. Ils quittent la route par un sentier ombragé. Et juste avant de rejoindre Cazavet, ils descendent un pré en contrebas et rejoignent une doline boisée qu'ils contournent pour apercevoir l’ouverture du gouffre de Peillot, gouffre qu'il est possible de visiter avec une équipe de spéléologues.
Arrivés sous la halle, ils s'installent pour le traditionnel goûter après une balade de 2 heures de 6km avec un dénivelé de 120m.
Jeudi 26 septembre : la météo est plus qu'incertaine.
On y a va, on n'y va pas, on y a va, on n'y va pas. YES ! On y va. Et 12 Isards se retrouvent devant la salle des fêtes de Gajan qu'ils connaissent bien. Ils entament leur boucle de 6km300 avec un dénivelé de 125m pendant un peu plus de 2 heures. Ils traversent le village de Taurignan-Vieux et se trouvent sur une route forestière qui les mène de lacets en lacets à la palombière.
Mais avant, que voient-ils sur leur droite un tout petit champ de girolles : ils en remplissent 3 chapeaux !!! Donc, les voici devant cette palombière entourée de lancers de pigeons-leurre ou appelants pour attirer les palombes. Il y a une porte sur l'échelle menant à la cabane. Sophie ne peut s'empêcher de monter sur l'échelle et vouloir ouvrir cette porte aérienne. Le cadenas est toujours là : impossible d'ouvrir !!!
Puis, ils sortent de cette voûte forestière pour se trouver à découvert sous la légère bruine. N'empêche que capuches et parapluie sortent. Ils passent devant la mairie, la source tarie de Raufast et sont à 16h à peine humidifiés devant leurs véhicules. Le goûter sera pour un autre jour !!!
Plus de 3 semaines sans sortie !!! Et en ce jeudi 19 septembre, sous un ciel ensoleillé, une température idéale, les Isards se retrouvent avec un réel plaisir, la trêve estivale est terminée !
Bienvenue à Marie. Ils sont aujourd'hui 16 qui démarrent le tour du Gariné depuis l'intersection de la route vers Aron et la voie verte où les attendent 2 tables de pique-nique .
C'est pour plus tard !!! Ils quittent la route et montent tranquillement dans un bosquet qu'ils quittent pour un chemin dégagé d'où ils ont une vue époustouflante. Tout le long du circuit, ils seront émerveillés de ce paysage reposant, verdoyant, voire bucolique.
Le seigneur Valier veille encore sur eux. Ils traversent Aron, le hameau de Faux et retrouvent la route. Le pas s'accélère !!! Ils sont en vue des tables et les voici attablés pour un long échange de points de vue. Ils sont ravis et ont même noté la rando : 10/10. , 6,7 km et 215 de dénivelé
En ce jeudi 29 août, le temps est maussade, mais 8 Isards sont prêts à attaquer “le renard qui se mord la queue” en partant du Pouech de Moulis. C'est une balade qu'ils ont faite plusieurs fois dans un sens puis dans l'autre. Il y a de quoi donner le tournis !!! Ils montent jusqu'aux granges de Paracoch en moins d'une heure. Le sentier est large mais pierreux, maintenant, ils descendent vers Engomer par un chemin étroit où de nombreuses haltes s'opèrent pour ramasser des champignons (940g) !!! Ils rejoignent le chemin de Compostelle et terminent leur circuit au bout de 2h30, près de 6km et 220m de dénivelé. Une nouvelle table de pique-nique est installée depuis juin dernier près de la coquille en marbre antique d'Aubert, ils vont s'y installer mais la bruine aussi !!! Nos valeureux soldats qui ont bravé le renard la boudent, alors, elle s'en va et c'est sous un ciel calme qu'ils se quittent.
Par cette belle journée ensoleillée du jeudi 22 août, 9 Isards accompagnés par Gabrielle, une petite fille de Patrick et Sophie se retrouvent à 9h au parking habituel. Ils vont à Galey pour une rando faite en 2020 et 2022. Les pics couserannais sont bien dégagés. Il fait très beau. Le circuit part de la chapelle du calvaire qui leur servira de lieu de pique-nique. Ils descendent par un chemin ombragé pour atteindre Orchein puis Augirein qu'ils traversent, toujours surpris par l'architecture et la décoration extérieure des maisons. Ils prennent le temps de regarder les anciennes photos accrochées aux murs. Ils remontent vers Galey par le chemin du château. Ils reviennent aux voitures. La balade de 5km700 avec un dénivelé de 260m (la pente de la remontée était douce) a duré 2h30. Il est midi passé, c'est l'heure de l'apéro ! Non, Philippe Sanchez, président de l'Association Patrimoine de Galey les attend pour leur donner des informations très intéressantes sur cette chapelle du XVIIe. Ils l'écoutent attentivement. Après un déjeuner sur l'herbe, près de la chapelle, ils descendent à l'église paroissiale, St Pierre où ils retrouvent leur guide. Cette église du XIIe siècle, XVIe et remaniée au XVIIe, avait une horloge dans son clocher ; cette horloge, dont la date d'installation se situe entre 1750 et 1780, est unique en Ariège. Son mécanisme qui était chez un particulier, a réintégré l'église à la fin de l'été 2015. Un anglais, Howard Bradley, en a restauré le mécanisme et depuis le 5 septembre 2015, elle se trouve au fond de la nef, en attendant d'être exposée. Ce mécanisme est une merveille de précision, rouages, contrepoids en pierre, à gauche de 25 kg, à droite de 28 kg. Ensuite, ils montent au premier étage où les attend un véritable joyau : une exposition d'objets et de vêtements liturgiques appartenant uniquement au village de Galey. Ce musée unique en son genre en Ariège a ouvert ses portes au printemps 2009.
Ils descendent maintenant vers Saint Quintin. bâtie sur une possession des Templiers au XVe qui présente 2 attraits remarquables : le retable de 15 tableaux qui représente des scènes de la passion de Jésus-Christ et le décor de la face antérieure de cet autel en cuir de Cordoue gaufré et doré représentant le reniement de Saint-Pierre. La visite touche à sa fin. Le retour aux voitures se fait dans les ruelles où ils admirent de beaux fours à pain. Après ce bel après-midi culturel, ils se quittent vers 16h.
Jeudi 1er août, une balade idéale est programmée dans le massif de Sourroque. pour profiter de la fraîcheur de la forêt sauf qu'elle a protégé 9 Isards et leurs 2 invitées du crachin continu !!! Ils plongent dans l'atmosphère magique de cette forêt fantasmagorique. Ils suivent un circuit karstique, doté de panneaux d’interprétation notamment à proximité des gouffres qu’il côtoie et décrit; parsemé d’énigmes à résoudre, il revêt un caractère ludique pour les Isards qui ont encore une âme d'enfants. Que vont-ils croisés sur ce chemin ? des loups? Oh non ! les Hadas, ces petites fées issues des légendes des Pyrénées gasconnes, se cachent dans cette forêt verdoyante et veillent sur eux. Au-dessus d'un de ces gouffres, ils découvrent un pont de singe qu'ils vont allègrement emprunter. Tout au long de leur cheminement, ils ramassent de nombreux cèpes, trémoules, même des girolles. De retour aux voitures au bout de 2heures, de 3km300 et un dénivelé de 115m, la décision est prise d'aller se mettre à l'abri à la cabane de chasseurs que Patrick prend soin de nettoyer. Mais, nos Isards préfèrent s'asseoir sur le talus. En effet, il ne pleut plus. Et, ils passent un long moment ensemble jusqu'à l'arrivée inopinée de la pluie, cette fois. Départ précipité !
Jeudi 25 Juillet, l'été peine à arriver, 12 Isards avec 2 invitées partent dès 10h pour le Tuc de Moncalivert depuis la salle des fêtes de Monjoie en passant par Bergerat. Cette balade devient incontournable du programme d'été.
Au passage, ils dégagent à la scie (pliante) un panneau indicateur. Ils retrouvent leur amie, la chouette qui surveille l'entrée du lieu-dit La Hajolle. Une grimpette à travers bois les mène à la croix du Montcalivert. Le seigneur Valier se cache sous sa cape de nuages, comme d'ailleurs toute la chaîne du Couserans. Un arrêt à la table d'orientation, un coin d'ombre et ils se sustentent.
La descente un peu rude les attend mais ils continuent gaillardement vers le musée du Naïf au hameau de Maubresc, commune de Montjoie. Ce musée, ouvert en 2021, forge leur admiration par le travail minutieux de Paul Fauroux qui, charpentier, a occupé sa retraite pendant 17 ans à faire des tableaux tout en bois avec des fragments de différentes essences, tableaux qui représentent Montjoie, Saint Lizier, le château de Foix .... l'Arbre de Vie dont on peut voir une photo dans un numéro du Colporteur-Magazine. Après un parcours d'à peine 5km mais avec un dénivelé de 260m, le pique-nique et la visite du musée, ils se quittent vers 16h.
En ce matin, jeudi 18 juillet, 11 Isards sont au bord du lac de Touille que certains découvrent et pourtant il est sur la route vers Toulouse près de Mane. Les voilà partis sur un parcours de santé où quelques uns s'initient aux anneaux, aux barres parallèles et même aux obstacles à chevaucher ... et il y en a tant d'autres dont suivre un cheminement en S ! Ils se sentent comme rajeunis ! Déjà de retour ? Oh, il est trop tôt pour déjeuner ! Hop, demi tour et là le rythme s'accélère. Il est plus de midi et les voici sur l'aire de pique-nique attablés à côté d'un barbecue. La grillade sera pour une prochaine fois. Pendant ce tour du lac, ils ont admiré les Pyrénées en particulier le pic du Cagire. 4 membres de la famille des animateurs se sont joint à eux. Cela fait une bonne tablée. Les conversations vont bon train comme d'habitude Ils se quittent à regret au bout de 3 heures. Le repos est bien mérité après plus de 4km en 1h30 et surtout un dénivelé cumulé positif de 6m (il n'y a pas d'erreur : il n'y a pas de zéro après le 6) !!!! La semaine suivante, ce sera le Montcalivert avec pique-nique au sommet.
En ce jeudi estival du 27 juin, 7 Isards partent de Boussan pour atteindre le col d'Ayens. Ce chemin est une découverte pour tous au milieu des près, sous des voûtes forestières où souffle une légère brise rafraîchissante. Ils arrivent au col au bout d'une heure 15. Juste avant, 2 gros blocs les avaient interpellés : on aurait dit un combat de mammouth ! Il est vrai qu'en Ariège, avec toutes ces grottes, ce n'est pas surprenant !!! Les nuages sont très présents et seules les premières pentes sont visibles. D'un commun accord, ils reprennent ce même sentier large où pourraient passer des 4X4.
Une grosse erreur d'aiguillage à 500m des voitures leur fait faire 2km et 100 m de dénivelé supplémentaires !!!Heureusement, la boisson fraîche les attend ainsi que des mini rochers à la noix de coco. L'ambiance est joyeuse, des exclamations fusent "oh, mais ils sortent du four" ... "et, en plus, ils sont cuits à point"....
Finalement, ils avaient fait 8km, 300m de dénivelé en 3h20, pauses comprises.
Jeudi 13 juin, enfin le soleil revient et c'est sous un beau ciel bleu que 14 Isards vont (re)découvrir d'autres granges de Balagué bien visibles depuis St Lizier.
Ils passent à Montgauch et Bareille, empruntent une piste forestière sur quelques km en mauvais état puis continuent à pied. La pente est douce et très régulière, ils montent ainsi 295m tout en discutant. Le paysage change subitement et devient calcaire. Des granges ! oui de Balagué sur un autre versant. Et, en bas d'une belle prairie, Lorp, St Lizier et St Girons s'étalent devant leurs yeux.
Quel beau paysage avec la croix de Montcalivert au fond. Derrière eux, toute la chaîne des Pyrénées couserannaises. La descente continue dans une belle forêt et un obstacle de taille s'offre à eux : un talus assez pentu de 10m Et, les voilà à la queue leu leu.
Oh, mais rien n'arrête nos fougueux Isards qui savent que dans peu de temps un goûter les attend. Cette balade de 7km500 a duré 3h20. Le spectacle était tellement beau qu'il nécessitait des longues pauses.
Jeudi 6 juin, 14 Isards sont à Seix.
Il fait enfin beau et chaud. Ils passent devant l'église à un mur clocher et commencent leur balade le long du Salat sur un chemin très ombragé. La fougue du Salat les interpelle, le courant est impressionnant, en effet, le débit est de 17,8m3 par seconde et de plus la rivière frôle le chemin.
Nos Isards atteignent une route goudronnée, une petite pause "photo" et un petit effort pour atteindre Esteiches qu'ils traversent tout en admirant ces maisons bien entretenues dont une a une toiture en ardoises posées à pureau dégressif. Ils descendent ensuite par un chemin herbeux et ombragé qui les ramène sur le long du Salat. Il y a peu de temps les terrasses étaient cultivées. 2 orchis mâles sur le bas côté les interpellent. Ils reviennent à Seix au bout de 2h35, 6km500 avec un dénivelé cumulé de 145m et s'installent sur la place de Seix pour le goûter.
10 Isards se retrouvent au parking habituel à Saint Girons. Le ciel est chargé, il ne pleut plus et la température est douce. Vont-ils passer entre les gouttes ? Pour le moment, ils quittent à pied ce parking pour une balade faite en mars 2023, ils empruntent l'ancienne voie ferrée, future voie verte : en effet, elle est verte !!! Dominant la route départementale, ils ont une belle vue sur la cité de Saint Lizier. Ils font une drôle de rencontre sur le chemin. Peu de temps après, ils traversent l'hôpital Rosès et descendent par un tunnel de verdure ou mieux un long brumisateur rafraîchissant. Enfin, ils débouchent sur les hauts de Lédar, une pluie fine les accompagne, une fois n'est pas coutume !!! Ils contemplent la vue sur Saint Girons, reconnaissent le chemin pris le jeudi précédent et sont de retour au parking au bout de 2h15 après 7km et un dénivelé de 100m. Le soleil est de retour !!!
En ce 23 mai, 9 Isards de Saint Girons laissent leur véhicule sur le parking habituel et entament la sortie du jour. Le temps est gris, la température est très agréable. Ils remontent l'avenue Foch et franchissent la passerelle enjambant le Lez un peu tumultueux. Puis, ils empruntent une partie du chemin des papetiers, passent devant un gîte avec une décoration originale : une pyramide de prénoms derrière un beau massif de sauge de Jérusalem, des "pique-niqueurs" insolites. Ils arrivent alors à la croix de Saudech d'où ils dominent tout le saint gironnais et chacun de reconnaître sa maison ! Ils entament la descente par un large chemin fraîchement fauché. Cela sent bon l'herbe coupée. Enfin, ils longent les hauts de Beauregard pour revenir à leur point de départ. Cette boucle parfaite de 6km300 avec un dénivelé de 165m a duré en tout 2h35. Surprise, il tombe des gouttes !!!
Ce jeudi 16 mai, 9 Isards ont encore bravé la pluie, le soleil est bien revenu. Ils partent de la salle des fêtes de Lasserre, située sur un plateau ou plutôt sur une crête avec vue sur tous les côtés. Ils empruntent la route goudronnée au milieu de verts pâturages où broute un grand troupeau de moutons. Une piste descend, les mène à un herbage et les voilà qui s'y prélassent. Ah, ce n'est pas là ! Ils remontent et trouvent une autre piste qui descend dans la forêt pour rejoindre une route. 3 orchidées attirent leur regard : 1 orchis mâle et 2 orchis de Fuchs. Tranquillement au gré des bavardages, ravis de cette température clémente, de ce bel ensoleillement, de ce paysage bucolique, ils arrivent au parking au bout de 2h15 après 7km avec un dénivelé de 165m. Des balançoires, des tables ... tout ce qu'il faut pour passer un long moment à discuter tout en appréciant le goûter.
Ce jeudi 2 mai, 9 Isards ont bravé la pluie et bien leur en a pris, le soleil est revenu. Au vu de l'humidité du circuit prévu, le programme a été changé. Donc, ils laissent leurs véhicules sur le parking pour arpenter l'avenue du Maréchal Foch, franchir par une passerelle non pas la Seine mais le Lez, on ne peut pas tout avoir !!! Ils passent devant la conduite forcée de la centrale de l'ancienne papeterie Lédar et devant le déversoir du canal qu'ils longent. Le cheminement se fait dans un théâtre de verdure, d'un côté les murs mousseux du canal et de l'autre les arbres et beaucoup d'orties que l'un d'entre eux cueille pour sa soupe du soir. Ainsi, ils arrivent devant la carrière d'Aubert où se trouve un marbre rare et précieux, utilisé et apprécié depuis l'Antiquité. Vingt siècles après les romains, c'est un italien, Giorgio Rivieri de l'entreprise Escamar qui est venu relancer l'exploitation de la carrière à l'abandon depuis les années 50. De la basilique Sainte Sophie à Istanbul aux Invalides à Paris en passant par l'hôtel Roosevelt aux Etats Unis, le grand antique d'Aubert orne les monuments les plus prestigieux… jusqu'au Saint Siège ! Une photo s'impose devant un gros bloc de marbre dont les nervures les fait penser aux Pyrénées. Demi-tour et surprise : le déversoir est plein. En effet, la centrale est arrêtée et l'eau gicle à 10 mètres cubes par seconde ! Quels embruns !!! Ils se retrouvent sur le parking au bout de 2h45 après 8km750 mais seulement 55m de dénivelé ! Le cadre n'est pas propice à un goûter, ce sera pour une prochaine fois.
Ce jeudi 25, avril, 6 Isards de Saint Pierre se sont joints à 13 Isards de Saint Girons pour une découverte pour certains d'entre eux du paysage calcaire du Plantaurel et surtout chercher, trouver et reconnaître les orchidées. Après avoir vu la loupe de l'orme Sully, planté du temps du duc de Sully en 1600 et mort en 1990 (l'orme !),
ils montent par la route jusqu'à une crête : un des nombreux balcons sur les Pyrénées malheureusement encapuchonnées. Quelle joie à la vue du premier orchis mario ou bouffon et un petit parterre de sérapias. Et, ce n'est pas fini. Aujourd'hui, le panorama est à leurs pieds : une myriade de couleur avec des orchis qui se pavanent au-dessus des autres plantes. On s'imagine marchant sur un tableau impressionniste.
Ils admirent donc des près de bouffons de couleurs variées du violet au pourpre au lilas rose voire au blanc, de sérapias à longue tige, des orchis brûlés, des céphalantères à fleurs blanches et cerise sur le gâteau des ophrys sillonnées.
Les discussions fusent sur les fleurs et certaines, très attentives, prennent des notes. Un sentier les ramène au hameau où les attend le traditionnel goûter Saint Gironnais. Cette balade a duré près de 2heures sur 4km avec un dénivelé de 85m.
Ce jeudi 11 avril, 18 Isards gagnent le stade de Lescure. Leur animatrice, Sophie, a bien récupéré de son bras juste libéré lors de la dernière sortie ici le 20 juillet dernier !!!
Le circuit va être le même: ils partent par la voie verte qu'ils quittent rapidement pour Canou, Flourit puis Legret avant de rejoindre leurs véhicules où les attend le goûter devenu traditionnel ! Ouh, quel est ce drôle d'"animal" ? !!! Le paysage bucolique, verdoyant les a apaise sans toute fois cesser leur conversation !
La vue est magnifique sur Lescure et Rimont. La boucle de 7km avec un dénivelé de 180m a duré en tout 2h25. Ce paysage si reposant est propice à des échanges amicaux; il ne manque que des séances de yoga !!! Cependant, leurs jambes les démangent d'aller au Mont Calivert dont ils voient très bien la croix.
Jeudi 4 avril, suivant le programme établi pour le mois, 20 Isards se retrouvent à Espou pour une balade faite le 17 juin 2021. Espou est un hameau complètement perdu après Lacourt au bout d'une route particulièrement étroite "comment fait-on pour se croiser" !!!
La boucle se fait dans l'autre sens sur un large chemin où les conversations vont bon train. Ils arrivent au bout d'une heure dix à un col où ils se prélassent avec délice : grand moment de farniente ! Certains partent plus haut pour avoir une vue plus dégagée.
Ils descendent, tous, par un chemin toujours aussi large et de plus herbeux. Ils marchent comme sur des tatamis ! Ils sont de retour après 2h10, pause comprise, autrement dit 1h35 de déplacement effectif. La balade a été courte de 4km470 et un doux dénivelé de 225m.
Table, fauteuils, sièges surgissent des coffres de voitures y compris la glacière et les gâteaux. Encore un long moment de convivialité.
Jeudi 28 mars, 19 Isards partent vaillamment du parking de la carrière d'Alas à l'assaut du château de Balagué dont sont encore visibles une tour, les vestiges de l'enceinte et les soubassements d'une ancienne chapelle surnommée la tour Ste Catherine.
Le chemin herbeux et large les mène sur la route qu'ils empruntent sur quelques mètres afin d' attaquer la montée en lacets jusqu'à la tour. Le combat est rude car il y a des passages délicats. Cette tour offre un beau panorama sur la vallée de Balaguères et les hauts sommets du Castillonnais dont le Valier.
Ce vestige, visible de loin est l'unique témoin d'un ensemble castral daté du XII-XIII siècle. La descente n'est pas moins aisée et elle permet de passer devant la grotte de Ste Catherine qui fut utilisée par le laboratoire du CNRS de Moulis pour étudier les animaux souterrains. Dans les années 80-90, on y donnait des concerts. Ah, une pause bien méritée après ce combat acharné !
Et, la récompense avec millas, madeleines au chocolat et pâte de coing. Cette balade faite le 15 avril 2021 a duré 2h mais 3h effectives tant le paysage était beau et surtout, ils ont admiré de nombreux orchis mâles. 5km300 pour un dénivelé cumulé de 235m.
Montesquieu-Avantès, chemin bien connu des Isards du vendredi car c'est à cet endroit que les 2 groupes se retrouvent pour admirer les orchidées en avril-mai.
La balade a duré 2h15 sur 6km avec un dénivelé de 130m. Merci Robert.
Ce jeudi 7 mars, ils sont 17 à partir de la halle de Prat.
Ils empruntent la voie verte jusqu'à Lacave en surplombant la déviation de Prat ou en passant dessous tout en longeant la Gouarège dont ils ont vu sa perte et sa résurgence lors d'autres sorties et aujourd'hui son confluent avec la Salat. Lacave, fondé le 11 septembre 1273 est la frontière avec la Haute Garonne que certains franchissent allègrement. Les postes de douane ont été abolis. Ils en reviennent avec la certitude que l'Ariège c'est beaucoup mieux !!!
Il reste de l'ancienne usine de chaux hydraulique créée en 1875 et fermée en 1979 le grand silo d'extinction de la chaux et la roue hydraulique verticale qu'ils découvrent étonnés, Ils sont ravis de découvrir à pied ce qu'ils traversent en voiture sans rien remarquer.
Demi-tour pour tout le monde et peu après, une légère montée de 90m les mène au hameau du Courbieu. Ils cheminent ensuite sur un large sentier à flanc tout en apercevant au loin le château de Prat. Ils s'en rapprochent et l'admirent. La descente avec quelques embûches les ramène au parking de la halle au bout de 2h45, pauses comprises, après 7km700 et 100m de dénivelé.
Une table et ses bancs les accueille où ils peuvent s'y tenir à 10 !!! Les autres sont sur un muret ou des sièges pliants. Et, ils discutent, certains de leurs souvenirs d'adolescence et de jeunesse.
Jeudi 14 mars, 10 Isards et un invité sont à Beille pour la 2ème fois cette année. En effet, après la forte chute de neige de ces derniers jours jusqu'à 1m, c'était tentant d'y retourner. Les voilà prêts à partir après la pause 3,14-3,14.
C'est ainsi que parle Georges Vignau, directeur de la station !!! Ils se dirigent vers les chiens de traîneaux couchés sur la neige en attendant le départ. Ils continuent le chemin de la Soulane au milieu de la forêt.
C'est magnifique et inédit pour eux. Le ciel est voilé mais leur offre des beaux ballets de nuages. Ils remontent et se trouvent alors près des pistes de ski de fond qu'ils traversent pour rejoindre le carrefour des 4 chemins. Il est midi trente, les tables sont prises. Allons, un petit effort et les voici à Beille d'en haut. Oh mais où sont passées les tables? Sous la neige !!!
La plupart s'assoie directement sur la table !!! Le paysage est resplendissant sous sa blancheur. En 1h40, ils ont fait 4km400 avec un dénivelé de 215m. Bravo. Le retour se fait en 1h15 sur 4km avec un dénivelé de 30m, c'est dire que c'est cool. C'est l'anniversaire de Josée. Tout le monde s'installe autour de la table. Les conversations vont bon train.
Le jeudi 29 février en l'absence de leurs animateurs, 10 Isards se retrouvent même heure, même endroit. Sous la houlette de Robert, ils partent sur le chemin de Ratabou près de Montesquieu-Avantès, chemin bien connu des Isards du vendredi car c'est à cet endroit que les 2 groupes se retrouvent pour admirer les orchidées en avril-mai. La balade a duré 2h15 sur 6km avec un dénivelé de 130m. Merci Robert.
Ce jeudi 7 mars, ils sont 17 à partir de la halle de Prat. Ils empruntent la voie verte jusqu'à Lacave en surplombant la déviation de Prat ou en passant dessous tout en longeant la Gouarège dont ils ont vu sa perte et sa résurgence lors d'autres sorties et aujourd'hui son confluent avec la Salat. Lacave, fondé le 11 septembre 1273 est la frontière avec la Haute Garonne que certains franchissent allègrement. Les postes de douane ont été abolis. Ils en reviennent avec la certitude que l'Ariège c'est beaucoup mieux !!! Il reste de l'ancienne usine de chaux hydraulique créée en 1875 et fermée en 1979 le grand silo d'extinction de la chaux et la roue hydraulique verticale qu'ils découvrent étonnés, Ils sont ravis de découvrir à pied ce qu'ils traversent en voiture sans rien remarquer. Demi-tour pour tout le monde et peu après, une légère montée de 90m les mène au hameau du Courbieu. Ils cheminent ensuite sur un large sentier à flanc tout en apercevant au loin le château de Prat. Ils s'en rapprochent et l'admirent. La descente avec quelques embûches les ramène au parking de la halle au bout de 2h45, pauses comprises, après 7km700 et 100m de dénivelé. Une table et ses bancs les accueille où ils peuvent s'y tenir à 10 !!! Les autres sont sur un muret ou des sièges pliants. Et, ils discutent, certains de leurs souvenirs d'adolescence et de jeunesse.
Jeudi 22 février, 13 Isards se rejoignent à l'aire de jeux de Cescau. Vont-ils faire de la balançoire ?
Nenni !
Ils traversent ce village que certains découvrent puis ils grimpent sur un large sentier. En dessous du château d'eau, ils sont éberlués du bruissement du trop plein. Les ruisseaux sont gorgés d'eau. Et là, les voilà qu'ils grimpent à travers prés. Ils ne jouent pas à saute-mouton mais plutôt à rampe-mouton sous les barbelés !
Ils aperçoivent au loin l'objectif de leur sortie : la chapelle St Michel qu'ils atteignent suivant un chemin toujours aussi large donc propice aux conversations. La vue est superbe sur la vallée du Lez jusqu'à St Girons et sur la chaîne couserannaise avec au loin le port d'Orle si caractéristique, la Mail de Bulard, le Maubermé, la Serre Haute ...
avec en premier plan le pic de l'Arraing et le pic de Sérau.
Dans la descente vers l'ancienne route de Castillon en Couserans, les talus fleuris de violettes, parfois d'anémones les ravissent. Ils arrivent à leur point de départ au bout de 2h25 après 6km400 et un dénivelé de 215m. Ils s'installent sur cette aire de jeux, ils leur manque les boules pétanques .
Il faudra les prévoir !!! Ah un invité surprise se joint à eux pendant le goûter ; LE SOLEIL !!! Christiane les a régalés avec ses délicieuses oreillettes. Merci Christiane. Oh là là ; en voilà une qui joue à saute-mouton !!!!
Jeudi 15 février, encore une douce journée de printemps, 18 Isards en compagnie de Jade qu'ils voient grandir au gré de certaines sorties se rejoignent au parking d'Intermarché.
Au bout, les voilà sur un chemin abrupt qui les mène au palais des Évêques en admirant au passage la cathédrale de Saint Lizier. Et, ils découvrent une "géocache" (Le Géocaching consiste à utiliser les fonctions du GPS pour rechercher ou dissimuler des " caches" dans divers endroits à travers le monde, en particulier à Saint Lizier). D'ailleurs pour leur grand plaisir et celui de Jade, ils en verront 4 bien dissimulées.
Tout en suivant le chemin des Gabats en partie rebaptisé "chemin des blaireaux" par les enfants de l'école de St Lizier. ils se retrouvent sur la route de Montjoie.
Une photo s'impose. Ils la traversent et s'engagent sous une haie de buis enfin de ce qu'il en reste. Ils voient bien des repousses mais elles sont toujours timides. Après la maison de retraite Hector Ossun et la dernière "géocache", ils surplombent la ville de Saint Girons avec le port de Couillac au loin.
Ils cheminent dans Le Marsan et arrivent dans un jardin où des tables, des chaises, des fauteuils, des gâteaux et de la Clairette de Dié les attendent pour un chaleureux moment de convivialité et d'amitié. Sophie change de dizaine ! Ils ont tout de même fait 6km400 en 2h25 avec un dénivelé de 185m.
Jeudi 8 février, par une douce journée de printemps, oh que disent-ils ?
ils sont en plein hiver... 19 Isards se retrouvent à la table d'orientation de Gajan. Ils vont faire un aller et retour de 5k100 avec un dénivelé de 90m pendant 1h40. Oh, mais ils se la coulent douce à Saint Girons ! Cela compense l'effort du jeudi précédent à Beille ! Un régal pour les yeux : la chaîne des Pyrénées du Montcalm jusqu'au pic du Midi de Bigorre s'étale lentement, mais pas très enneigée d'où la confusion de saison. Les conversations vont bon train, autant les jambes sont un peu au repos mais les zygomatiques ... Ils admirent le port d'Orle, cher aux couserannais qui le franchissent pour le pèlerinage de Montgarri dans le val d'Aran, puis, plus près, des magnifiques poules. De retour aux voitures, 2 tables les attendent en plus de celle d'orientation et sous l'oeil bienveillant du seigneur Valier, ils participent au goûter traditionnel.
Jeudi 1er février, 10 Isards se retrouvent au parking habituel à 9 heures.
2 voitures s'élancent sur la route qui les mène en moins de 2 heures au plateau de Beille, destination devenue rituelle. Sauf que cette année, une innovation ; la sortie se passe sur la journée avec pique-nique sur la piste.
La chaîne pyrénéenne se déploie devant leurs yeux malgré le voile nuageux. Un régal et c'est avec entrain qu'ils affrontent ce désert polaire. Au croisement des 4 chemins, ils entament une légère montée sur la droite puis, ils dominent le barrage de Laparan au faîte de la balade à 1980m. Une légère descente et surprise ; 2 tables de pique-nique les attendent !!! Ils ont fait 4km avec 200m de dénivelé en moins de 2 heures. Suit alors un bon moment de détente. Puis, ils rejoignent la station par la piste de l'Ours qui suit un sentier à travers la forêt, chemin inédit pour la plupart de l'équipe. Que font-ils à l'arrivée ? ils vont goûter sur l'herbe !!! Autre moment de détente bien mérité au bout de 5km, 85m de dénivelé et 2h10 de marche, pauses comprises.
Jeudi 25 janvier, 18 Isards se retrouvent à Montels sous un beau soleil.
Ils sont sur le site de la mine de Montels qu'ils avaient vu le 21 janvier 2023. Cet après-midi, cerise sur le gâteau : c'est en compagnie d'un archéologue, spécialiste des mines, Claude Dubois et, le regard n'est pas le même. Ils crapahutent durs en passant par une cuve, les vestiges de la plate-forme, la tour d'arrosage ou condensateur, la cheminée principale d'une quinzaine de mètres de hauteur avec chaque fois des explications,
l'auditoire est très attentif.
Enfin, ils arrivent devant la galerie Otto, galerie accessible que certaines et certains arpentent. La visite les transplante dans le monde des miniers qui à un moment donné se sont heurtés à un mur de marbre : le filon est tari.
Ils ont été plus courageux que l'an passé !
Merci Claude pour toutes ces précisions. Maintenant, c'est le retour aux voitures où les attend le goûter devenu traditionnel. Les jours rallongent et les conversations vont bon train après une "promenade" de 5km
qui a duré 3 heures avec tout de même un dénivelé de 245m.
Jeudi 18 janvier, 18 Isards se retrouvent à la mairie de Gajan sous un beau soleil et une chaleur printanière.
Les voilà partis d'un pas alerte pour la perte de la Touasse; l'an dernier, le 12 janvier, ils avaient vu la résurgence de ce ruisseau. Ils gravissent un vallon et se trouvent sur un beau chemin tapissé de feuilles mortes qui bruissent sous leurs pas. La porte sur l'échelle de la palombière est toujours cadenassée !
Le cheminement avec une série de courtes montées et descentes et surtout très boueux les mène devant la perte de la Touasse. Personne n'est tombé !!! et, aucune chaussure ne s'est égarée dans les profondeurs de cette boue argileuse et collante. Ce sentier était sec lors de la reconnaissance en septembre !!!
Surprise : des perce-neige tapissent les talus, c'est magnifique.
Et, cerise sur le gâteau : des jonquilles en bouton !!! Enfin, une route goudronnée ! et toute la chaîne couserannaise avec le seigneur Valier s'offre à leurs yeux.
Au bout de 3 heures (boucle d'un peu plus de 6km et 150m de dénivelé), ils arrivent aux voitures pour déguster un gâteau bien apprécié de tout le monde arrosé de cidre. Merci, Sylvie.
Jeudi, oh non, vendredi 12 janvier : le soleil est éblouissant, le ciel est d'un bleu ... contrairement à la veille. 16 Isards se retrouvent à Alas pour une boucle passant par Arrout. Le départ est différent et la boucle n'est pas dans le même sens que celle faite le 26 janvier 2023. Et quel plaisir de se retrouver après la trêve de Noël ! Ils empruntent un large chemin pour accéder à Arrout, village qui les enchante toujours par ces maisons retapées, sa mairie aux volets "bleu charrette" et son lavoir, lavoir qui sert de cadre à la crèche en décembre. Sortie prévue dernièrement mais le temps exécrable les avait fait changer de projet. Ils bifurquent à droite par le chemin de Girech qui les mène au faîte de la balade. Et là, émerveillés, ils contemplent toute la chaîne couseranaise. Bon, il faut descendre ! Le chemin est assez ombragé, ils aperçoivent Agert à travers les branches dénudées. Ils reviennent au parking pour "tirer les rois". Oh, mais il en manque. Ils s'étaient arrêtés à la Guinguette de la Laine !!! Atelier, créé en 2011, qui traite la laine de mouton jusqu'à la confection. Suit donc un moment convivial après une boucle de 6km100 avec un dénivelé de 195m et qui a duré à peine 2h10.