Malgré la légère bruine qui les enveloppe, 8 Isards attendent leur animatrice qui arrive en tenue de ville pour annuler la sortie.
Ah non ! Ils décident, alors tous, de modifier le programme : tout le monde en voiture pour un autre parking. Ils entament la boucle des "2 passerelles" faite le 24 novembre 2022 avec un départ différent tout en restant dans Saint Girons.
Ils longent le Salat rive gauche où une mini-bambouseraie pousse à leur plus grand étonnement puis rive droite après avoir emprunté une passerelle Une ancienne centrale de nouveau exploitée, une cheminée, vestige d'une ancienne usine d'effilochage attirent leur attention. Une 2ème passerelle les ramène sur la rive gauche.
Ils admirent le parc rénové du palais des Vicomtes. Et, les voilà de retour au parking au bout de près de 2 heures, 6km et 30m de dénivelé. L’endroit n'est pas très bucolique pour un goûter, ils se quittent alors sur les mots "Bonnes fêtes et à l'année prochaine".
Quel bel après-midi ce jeudi 14 décembre !
C'est inespéré ! 4 Isardes et 4 Isards partent de l'église du Pouech près de Moulis et attaquent une boucle inédite mais avec des tronçons connus, boucle de près de 6km avec un dénivelé de 230m qui a duré en tout 2h30. Ils suivent un chemin bien connu sous le nom "le renard qui se mord la queue", ils arrivent aux granges de Paracoch.
Un panorama bien dégagé sur les sommets couserannais attire leur regard. Dans la descente, ils bifurquent à droite pour rejoindre Goué en dessus. C'est nouveau !!! Ils font une autre découverte, ils sont sur un chemin balisé différemment : le circuit des maginettes. Circuit qui sera proposé plus tard.
Le mot "maginette" vient du mot "image", terme local pour désigner un oratoire où est nichée une statuette représentant un personnage religieux, très souvent la Vierge mais aussi des Saints et même Jeanne d’Arc au hameau de Goué d’au-dessous. Ils ont été construits au bord des routes et des chemins pour guider et protéger les voyageurs. La commune de Moulis en compte 8, c’est exceptionnel.
Ils prennent donc la route jusqu'à Goué en dessous tout en admirant Lique sur la crête. Ils font une petite déviation pour justement voir cette maginette; une petite montée et une descente les ramènent à l'église. Un goûter les attend.
Jeudi 7 décembre, 17 Isards se retrouvent tous à Caumont. Ils partent vaillamment pour le castrum lequel castrum a été probablement construit au XIIIème siècle. Ils en voient les restes comme des tours, des cases ... Et, la vue de ce monticule est magnifique, surtout aujourd'hui où toute la chaîne est dégagée: le sieur Valier les surveille, C'est pour certains une découverte.
Un arbre en travers ! Oh, pas de problème, Michel sort sa scie et dégage le passage !!! Ils continuent leur chemin pour retrouver celui qu'ils avaient suivi depuis Prat un certain 15 juin dernier et les voilà devant cette cabane bien aménagée pour les chasseurs !!!
Une descente sur la route les ramène au parking et ils sont bien installés pour le goûter traditionnel aussi convivial dans ce pré communal de Caumont. La balade adaptée au raccourcissement des journées a duré 2h25 sur une distance de 5km800 avec un dénivelé cumulé de 165m.
Jeudi 30 novembre, 15 Isards partent de Cescau.
Ils sont ravis de retrouver leurs anciens camarades, Michel et Michèle. Il était prévu de monter à la chapelle Saint Michel, rando faite le 28 avril 2019. Mais, le plafond est vraiment bas, ce sera pour une autre fois avec du très beau temps et il ne pleut pas certes mais il faut s'adapter : changement de programme.
Ils admirent le lavoir de Cescau avec une bibliothèque libre. Ils descendent à Castillon en Couserans, déambulent dans les ruelles et les escaliers parfois sans rampe ce qui est gênant pour certaines !!!
Ils admirent au passage les 3 mesures à grains en pierre installées dans une salle communale, les nombreux tableaux accrochés aux murs des maisons dont un attire particulièrement leur attention : Claude Nougaro et le pont neuf de Toulouse peint par Robert Roujas qui avait tenu à lui rendre hommage.
Il est retraité depuis quelques années et installé à Castillon-en-Couserans.
Ils inaugurent le nouveau tronçon de liaison de voie verte entre Castillon et Saint Girons. Ils arrivent donc au départ et s'installent tranquillement sous et sur le lavoir, même certains ont amené leurs fauteuils. Je précise "pliants" ! C'est le goûter devenu traditionnel avec en plus le chocolat chaud de Michel. Notre cher barde, Michel, l'autre, nous chante 3 chansons dont les Roses Blanches de Corfou toujours aussi émouvante. Ils discutent, ils discutent et décident alors de faire un déjeuner de fin d'année en décembre.
Ne pas oublier que cette balade de 5km a duré en tout 1h50 avec un dénivelé de 85m et une moyenne de plus de 3km/h.
Jeudi 23 novembre, 21 Isards se rejoignent sur le parking de la Chambre d'Agriculture en plein centre de Saint Girons. Certaines sont venues à pied ! La météo est bonne quoique un peu nuageuse. Quel plaisir de se retrouver !
Le début de la randonnée débute par la montée de Claire Colline.
Arrivés à Ventefarine, ils continuent tout droit. Ah, c'est nouveau, les 2 dernières fois, ils avaient tourné à droite. Ils se dirigent donc vers le Lanis, bifurquent à gauche et descendent à travers champ en franchissant quelques clôtures. Facile ! Il n'y a pas de troupeaux de vaches. Ils arrivent sur une route goudronnée qui les mène au début de la voie verte partant de Saint Girons. Ils traversent la départementale, longent le "périphérique" sur le trottoir.
Des tables et bancs les attendent au parking.
Cidre à volonté (!!!) accompagne les gâteaux de Michel, de Sophie et de Sylvie. La balade de 5km400 avec un dénivelé de 150m a duré en tout 1h55.
Jeudi 16 novembre, 14 Isards se retrouvent sous un temps un peu maussade.
Mais oui, 3 semaines qu'ils ne sont pas sortis. C'est vrai que le jeudi 2 novembre, il est tombé des trombes d'eau et jeudi dernier, ils n'ont pas profité de l'embellie pourtant annoncée.
Alors, ce jeudi, ils attaquent bravement le tour depuis Bergerat, quartier d'Audinac dépendant de la commune de Montjoie. Ouf, ils ne sont pas perdus ! Une petite pluie fine les accompagne. I
ls longent l'ancien terrain de cross et entament la montée sur un chemin schisteux. Ils redescendent et longent une doline, le ruisseau qui y mène est à sec. Cette boucle de 6km800 avec un dénivelé de 220m a duré en tout 2h30.
Elle avait été faite dans l'autre sens, le 3 mars 2022. Sitôt aux véhicules, verres, biscuits, cidre sont déposés sur la petite table et ils boivent un coup, toujours dans la bonne humeur.
Jeudi 26 octobre, 12 Isards se retrouvent près de la halle de Prat et ils accueillent 2 futurs Isards.
Le temps est assez nuageux, ils vont affronter le brumisateur naturel. Heureusement, leur cheminement va se faire sous une voûte de verdure. Les arbres n'ont pas encore perdu leur feuillage. Des cyclamens sauvages attirent leur regard. Ah, ils longent un pré et 2 ânes les regardent passer, Sophie va les "nourrir" de ses fanes de carottes cueillies dans son potager. Ils rejoignent Hider que certains reconnaissent pour y être passés venant de Cazavet le 15 octobre 2020.
Ils se souviennent de ce drôle d'animal avec sa belle crinière verte qui les nargue ! Arrivés à un embranchement reconnu, ils bifurquent à gauche pour tranquillement rejoindre Prat et sa halle où ils s'abritent pour le goûter après avoir déplacé des bancs pour se retrouver en rond face à l'adversité qui était représentée par des jeunes voulant jouer au ballon !
Cette balade de 8km avec un dénivelé cumulé de 115m a duré 2h25 avec les pauses soit 3km700 à l'heure. Bravo !
Jeudi 19 octobre, 12 Isards se retrouvent à Agert, une fois de plus dans la vallée du Lez.
Et, les voilà partis d'un bon pied pour attaquer le chemin qui les mène à Campussan. C'est une boucle inédite de près de 5km avec un dénivelé de 250m et qui a duré 2h30. La température est idéale pour randonner sur ce sentier en sous-bois avec parfois des rayons de soleil. Il est vrai que les nuages sont présents mais les sommets sont dégagés. Arrivés au faîte de la sortie, une longue pause leur permet d'admirer toute la vallée du Lez depuis Alas, Castillon ....
De retour à Agert, ils s'installent pour le goûter traditionnel entre 2 voitures !!! Ils feront mieux la prochaine fois !
Jeudi 12 octobre, 21 Isards se retrouvent au pont d'Aubert. Ils admirent la carrière de marbre antique d'Aubert en exploitation. Ils longent le canal de l'ancienne papeterie de Lédar qu'ils enjambent pour une petite grimpette par un sentier récemment dégagé par la communauté des communes. Ils revoient un peu le paysage fantasmagorique de Sourroque avec cette mousse qui recouvre les troncs d'arbres. Et tout tranquillement, ils retrouvent le chemin du canal. Au bout de 2 heures, le goûter clôt cette balade de 6km avec un dénivelé de 70m.
Jeudi 5 octobre, 21 Isards se retrouvent à Engomer à l'ancienne gare.
Un circuit inédit, encore, les mène le long de la rive gauche du Lez au hameau de Luzenac où ils admirent près du lavoir une sculpture en marbre antique d'Aubert, "Crazy". Sur la rive droite du Lez, une plaque commémorative apposée ici depuis peu en hommage à Guy Weil, les interpelle. Louisette leur raconte que sa fille a voulu honorer la mémoire de son père qui avait pris CE chemin de la Liberté. Il y en a eu tellement;
Un des participants de cette exode était présent : 96 ans !!! Émotion garantie. Ils retournent à Engomer tout en longeant le Lez et en passant par la papeterie Martin toujours en activité. Le sentier est large, ombragé, parfois herbeux, le tout avec le doux bruissement de la rivière et le soleil. 14 d'entre eux continuent la balade vers Alas et reviennent à Engomer par la rive gauche. Ce parcours en forme de 8 fait 8km500 avec 100m de dénivelé cumulé et a duré en tout 2h45. Et, maintenant qu'ils sont tous réunis, que font-ils? Ils goûtent !
Les conversations vont toujours bon train.
Jeudi 28 septembre, eh oui, aujourd'hui, c'est encore un circuit inédit qui est proposé : boucle partant de la centrale de Castillon, passant par Bordes sur Lez puis Idrein enfin Laffitte et retour au barrage. C'est une balade de 7km500 avec un dénivelé cumulé de 290m et près de 3 heures avec les pauses ce qui reste normal depuis quelques semaines. Il est vrai que cet été, les Isards de St Girons se sont laissés aller. Donc, ils se retrouvent 17 au départ. Ils longent la retenue du barrage où les rayons de soleil font des étincelles sur l'eau. Ah mais, qu'est ce que c'est, ce truc rouge? Un Phalacée de la famille des champignons et lichens. Ils arrivent à Ourjout (Bordes sur Lez) où le vieux pont de la 2ème moitié du XIIIème siècle et l'église romane du XIIème siècle les interpellent. Ils traversent le Lez et montent par la route ce qui peut être fatigant jusqu'au hameau d'Idrein où ils sont déjà venus mais par un autre chemin. Le cimetière est toujours aussi apaisant face aux montagnes. Le temps est superbe et la température clémente. Maintenant, ils empruntent un chemin ombragé déjà fait. L'inscription sur un tronc d'arbre est presque effacée. Grâce aux reportages, il a été possible de la retrouver Jugez :
JE VEUX UN NOTRE MONDE, PAS UN RETOUR À L'ANORMAL.
Les voilà en vue de Castillon, un petit raidillon bien tracé au milieu des orties les mène à un parking d'où ils rejoignent la route vers le barrage. Le goûter est le bienvenu.
Jeudi 21 septembre, c'est un circuit inédit qui est proposé aujourd'hui : le tour du Garrié près d'Encourtiech.
10 Isards sont présents. La première partie se fait sur une piste ombragée traversant sapinière et forêt de feuillus. Après environ 2.5 km de marche, ils obliquent sur la droite après une première photo du groupe et au terme d’une montée assez raide dans un tunnel de feuillage, ils se trouvent maintenant sur le versant sud. Malheureusement, les nuages cachent la chaîne couserannaise. mais quel plaisir de marcher sur l'herbe au milieu de cette verdure. Tout d'un coup, le paysage change et devient rocailleux.
Tout le monde s'extasie sur ces grosses pierres qui semblent avoir été plantées comme des menhirs. De l'autre côté, vue plongeante sur la route qui mène à Encourtiech.
Il faut être tout de même attentif. 4 déchaînés partent devant pour monter à la croix du Garrié d'où ils ont une belle vue sur Saint Girons un peu embrumée.
Pendant ce temps, le reste de l'équipe entame la longue descente qui les ramène aux voitures. Une pluie fine commence à tomber et elle sera plus drue pendant le goûter, mais peu importe, ils sont tous ensemble et à l'abri. La balade de 6km200 avec un dénivelé cumulé de 285m a duré en tout 2h50.
Jeudi 7 septembre, encore un bel après-midi. 10 Isards souhaitent la bienvenue à Odette. Donc, ils partent à 11 du cimetière de Lescure, empruntent le chemin de Compostelle, le GR78. Le chemin est large, ombragé, il les mène au clocher de Noguès que la plupart connaisse. Une importante campagne de restauration a été entreprise par les Amis du clocher de Noguès. Les transformations sont notables. Nos Isards continuent sur le GR, traversent une grande propriété, le chemin devient plus étroit mais quel beau panorama tranquille, la verdure est partout. Ils arrivent sur le bitume qu'ils ne quitteront plus jusqu'à l'arrivée. Rimont se détache au loin.. Ils s'en approcheront mais bifurqueront avant à droite pour prendre la route des crêtes. Les montagnes sont un peu dans la brume. Les dolines toutes de vert vêtues leur procurent une sérénité tant le paysage est bucolique. Au bout de 8km400 et 155m de dénivelé, ils arrivent au cimetière. La randonnée a duré en tout 2h55. Un espagnol venant de Leon pour aller à Rome partage leur goûter. Comme d'habitude, bien installés, ils ont toujours des choses à se dire !
Jeudi 14 septembre, le rendez-vous est au parking d'Intermarché, rive droite.
Bon retour parmi les Isards à Élisabeth, Guy, Louisette et Michèle.
Aujourd'hui, ils sont 19 à grimper le talus pour rejoindre la route puis le chemin qui va les mener devant la cathédrale de Saint Lizier et les voici en train de poser devant cette belle fontaine du XIXème siècle. La statue est la déesse Ino qui dans la mythologie est la déesse de l'eau.
Elle est représentée avec une rame dans la main gauche et une jarre dans la main droite d'où coule de l'eau. Ils traversent le haut de Saint Lizier et à la sortie, descendent tranquillement par un sentier inconnu de tous sauf de Patrick, charmant sentier ombragé mais un peu empierré qui longe une propriété avec sur leur gauche la plaine toujours aussi verte. Le temps est superbe. Ils se retrouvent devant une grille et reconnaissent un ancien parcours.
En effet, c'est plus agréable que de marcher sur le bitume.
La randonnée continue jusqu'à la salle des fêtes de Gajan où les attend le goûter traditionnel et bien entendu, les conversations vont bon train. Une voiture ramène des chauffeurs au parking qui reviennent chercher leurs passagers. C'est une balade courte de 5km avec un dénivelé de 85m qui a duré à peine 2 heures.
C'est une bonne remise en jambes pour certains.
Jeudi 31 août, un bel après-midi attend 13 Isards.
Le jeudi dernier, la sortie avait été annulée. Ils partent d'Agert et entament une longue montée régulière à l'ombre d'une belle foret. Ils passent devant LA grange du circuit ! Bien retapée. Maintenant, le décor change, ils ont une vue très dégagée sur Balagué et les montagnes du Couserans. Le temps est magnifique, la chaleur est douce, une légère bise les rafraîchit.
C'est l'été indien. Lors de la descente, un tracteur leur barrage le chemin, il fait le plein d'eau, certains en profitent pour s'asperger d'eau presque trop froide !!! ils continuent et se trouvent à Balagué. 5 dames prennent l'air assises sur des bancs dont une est une connaissance, un détour et ils sont devant le lavoir semi-circulaire. Oh ! des têtards et les voilà revenus en enfance. Des photos sur les murs commentées par un habitant, les conversations vont bon train. Cette croustade est une pâte feuilletée et levée, en fait elle est comme les croissants.
C'est une spécialité de cette vallée. Ils reprennent la route et à chaque lavoir, ils se précipitent pour voir les têtards !!!! Il est vrai que l'eau est limpide enfin, ils retrouvent leurs véhicules au bout de 4 heures. Ah mais, ils ne vont pas se quitter sans boire un coup bien frais !!! Un bar est improvisé à l'ombre.
Donc, la marche effective de 6km800 a duré 2h50 avec un dénivelé de 310m. Ils se sont réveillés !!!
Il faisait tellement bon qu'ils ont profité pleinement de cette embellie.
Lacave implanté en bordure du Salat a vu le jour le 11 septembre 1273 par un acte de paréage signé par le comte Bernard VI de Comminges, Aux XVIIIème et XIXème siècles étaient fabriqués des bateaux pour la Garonne. Après la Révolution, 100 à 140 bateaux par an étaient construits avec les bois d'œuvre de la forêt de Betchat. Après s'être enrichi au Texas et au Mexique, Étienne Boussion revînt à Lacave en 1834. Quelques années plus tard, il fonde une briqueterie et une usine de chaux hydraulique et ciment, cette dernière fonctionnera jusqu'à la fin du XXème siècle. Jean Ibanès (1936-1985), ancien élève de la prestigieuse École normale supérieure, agrégé d'histoire, docteur ès sciences économiques. puis enseignant à l'ENS, dont la bibliothèque porte son nom, est né et mort à Lacave. Il fut maire du village de 1977 à 1983 puis de Saint-Girons Les monuments importants sont l'église Saint Michel avec son mur clocher et le parc communal bien aménagé devant lequel nos randonneurs passent tout en admirant les grandes et belles maisons avec des statues dans les jardins, la statue de Saint Michel terrassant le dragon quelques mètres plus loin. Le chemin est large et emprunté par des cyclistes. Une surprise les attend au sommet du circuit : culture de cannabis. Et, les voilà attentifs aux explications de pharmacopée des exploitants. Une cueillette de mûres dans la descente puis une petite boucle avant de rejoindre le chemin du retour. Un hibiscus magnifique les interpelle. Des rencontres avec des connaissances et à midi, ils s'installent dans le pré communal. La balade de plus de 6km avec un dénivelé de 160m a duré 2h40. Ah, les saint gironnais se réveillent !!!
Jeudi 10 août, 11 participants à cette matinée brumeuse dont 3 membres de la famille des animateurs partent du col de Belein au-dessus de Montégut.
La montée se fait dans un paysage un peu fantasmagorique et ils arrivent à la table d'interprétation. Ils ne voient rien, le soleil fait une légère percée et la vallée du Lez peu à peu se dévoile, ainsi que la plaine de Saint Girons, la colline du Marsan émerge de la brume. Ils descendent par un raide chemin qui aujourd'hui est sec. Ils retrouvent leurs véhicules et s'installent à la table de pique-nique pour un moment d'échange, échange écourté par la chaleur du plein soleil. La randonnée de 3km400 a duré à peine 2 heures avec un dénivelé de 175m.
Oh, on se relâche à Saint Girons !!!!
Jeudi 3 août, 9 Isards et une invitée partent du parking habituel à 9h30. 2 autres Isards doivent les rejoindre à l'aire de pique-nique après Ouerdes. Mais, c'était sans compter sur les aléas de leur véhicule. Ils font du stop !!! Ils les emmènent,et, voilà les 12 participants sur une route forestière défoncée, ravinée ....
Un certain virage pose problème et c'est à 10h10 qu'ils arrivent enfin à cette aire. Ils suivent le chemin des Hadas ou des fées qui s'y cacheraient.
Ils sont vite plongés dans l'atmosphère magique de cette mystérieuse forêt de Sourroque. Ce parcours déjà effectué est ludique avec 4 énigmes à résoudre entre amis. En voici une : "A peine fini, je me perds dans le passé et ne peut être ajourné. Demain, ce ne sera plus qu'hier. Hier c'était simplement demain. Qui suis-je". Les réponses donnent lieu à de grandes discussions !!! Et c'était "aujourd'hui".
Ce sentier revêt également un intérêt géologique de part ses nombreux gouffres et dolines. Les voici devant le gouffre de Barroli de 150m de profondeur et ils apprennent l'histoire de Basile. Maintenant ils découvrent le "business", le gouffre de Bysnès de plus de 100m de profondeur et ils lisent la légende du Lit du Diable. Un chemin boueux les mène devant le gouffre des Mourères; ils lèvent les yeux, découvrent le pont suspendu. Ah non, on n'y va pas !!! Mais si. Avant cela, un arrêt technique s'impoose : une chaussure reste coincée dans une des cavités rocheuses. Alors, la propriétaire se déchausse et Patrick, le sauveur des chaussures perdues, vient à la rescousse et libère cette chaussure récalcitrante.
Ouf que d'émotions !!! Les voici donc tous sur ce pont et après concertation, la décision est prise de faire demi-tour.
Ils s'installent autour d'une table et bancs en pierre pour le déjeuner. Le circuit de 3km400, d'un dénivelé de 120m a duré moins de 2 heures. Bon, il faudra faire mieux la prochaine fois !!! C'était trop cool mais les zygomatiques ont bien fonctionné !!! Le temps est resté médiocre, heureusement, le feuillage les a protégés de la bruine.
En cette belle matinée du jeudi 27 juillet sans nuage, 6 Isards rejoignent leurs 2 animateurs accompagnés de leurs enfants et petits-enfants à Aulussat au-dessus de Rivérenert.
Il est 9h50. Ils entament leur rando par une courte mais raide montée très ombragée jusqu'à l'arrivée sur un plateau bien dégagé qui leur offre une vue splendide sur 360° avec au sud la chaîne du Couserans avec le sieur Valier et au nord la plaine de Saint Girons, voire beaucoup plus loin, tant la visibilité est nette. Le temps est très clair. Les voici à 11h05 à la Tête d'Âne culminant à 819m !
Ils descendent en se frayant un chemin dans les ronces, surtout dans les fougères qui deviennent vraiment envahissantes dans ce paysage du piémont. Ils retrouvent le pré qui les ramènera devant la fameuse boîte aux lettres faite de bric et de broc qui fait la joie des grands et petits. Un chemin carrossable leur permet d'atteindre l'aire de pique-nique et la table d'interprêtation. Surprise : c'est fraîchement tondu. Les voitures sont là : les tables, chaises, fauteuils, victuailles ... sont installés pour un bon moment de convivialité. Il fait beau, un peu frais à l'ombre mais la petite bise est agréable au soleil. Il fait trop beau mais on doit s'en alleeer ....
Cette balade de 3km600 avec un dénivelé de 240m a duré 2h20.
Le jeudi 13 juillet en l'absence de leurs animateurs,3 Isards se sont retrouvés à 10 h à Moulis pour une boucle de près de 7 km passant par Engomer.
Le jeudi 20 juillet, 8 Isards ont pris rendez-vous avec leurs 2 animateurs au stade de Lescure à 13h30. Leur animatrice, Sophie, a enfin son bras gauche libéré !!! Ils partent par la voie verte qu'ils quittent rapidement pour Canou, Flourit puis Legret avant de rejoindre leurs véhicules où les attend le goûter devenu traditionnel ! Le paysage bucolique, verdoyant les a beaucoup apaisés sans toute fois cesser leur conversation ! La boucle de 6km800 avec un dénivelé de 170m a duré en tout 2h35.
Jeudi 6 Juillet, l'été est arrivé, les Isards de St Girons vont commencer à sortir dans la matinée sauf exception. Alors pour leur première sortie estivale, ils montent au tuc de Montcalivert.
Ils sont 10 à partir de la salle des fêtes de Montjoie en Couserans vers le tuc en passant par Bergerat. Le temps est brumeux mais chaud. Soudain une chouette surveille l'entrée d'un espace privé limité par une barrière, espace que l'on doit respecter. Pour l'instant, ils admirent le travail remarquable de cette chouette sculptée dans un tronc d'arbre. Ils sont ravis de cette découverte, d'autant plus qu'elle a été exécutée en février de cette année 2023 : elle n'a pas 6 mois, mais quelle allure et quel regard ! Ils traversent alors ce lieu-dit La Hajolle et continuent à monter, la croix est en vue et, au fur et à mesure de leur dernière montée, la chaîne des Pyrénées couseranaises se déploie devant eux. Un arrêt à la table d'orientation, un coin d'ombre et ils se sustentent.
La descente un peu rude les attend mais avec un tel panorama devant eux, ils oublient tout. C'est une boucle complète de 5km500 avec un dénivelé de 250m et un déplacement effectif de 2h10.
Comme prévu dans le programme du mois de juin, la sortie de cette semaine a lieu le mercredi 28 juin.
15 Isards se retrouvent à Ercé sur le parking de l'Escalusse d'où sous la houlette de Michel, ils attaquent la randonnée en longeant un étang recouvert de nénuphars avec dame cane se pavanant avec ses petits au milieu de cette végétation.
Ils suivent les pas de l'Oussaillé", ce qui évoque les montreurs d'ours partis au milieu du XIXème siècle jusqu'en Amérique chercher fortune. Le chemin est boisé, moussu, sur leur gauche une belle cascade les attire, après la montée, la descente puis ils traversent le Garbet et ainsi rejoignent le moulin de Ressac antérieur à 1605 et fermé en 1972. Ils reprennent leurs véhicules pour déjeuner chez Michel où les rejoint Yves.
Devant son pupitre, Michel nous ravit avec quelques chansons et pour finir avec une chanson à boire que tout le monde connaît. La randonnée de 6km200 avec un dénivelé cumulé de 250m a duré 2h35.
La météo du jeudi 22 juin n'étant pas très engageante, la sortie a été repoussée au lendemain, c'est à dire le vendredi 23 juin,
13 Isards vont donc (re)découvrir d'autres granges de Balagué bien visibles depuis St Lizier. Ils passent à Montgauch et Bareille, empruntent une piste forestière sur 3km en mauvais état puis continuent à pied. La pente est relativement douce mais très régulière et ils montent 295m tout en discutant. Le paysage change subitement et devient calcaire. Et, en bas d'une belle prairie, Lorp, St Lizier et St Girons s'étalent devant leurs yeux.
Quel beau paysage avec la croix de Montcalivert au fond, alors, Michel entonne une très belle balade. Merci. La descente continue et un obstacle de taille s'offre à eux : un talus très pentu de 15m. Oh, mais rien n'arrête nos fougueux Isards qui savent que dans peu de temps un goûter les attend.
Oui, mais la gourmandise est trop forte, ils se régalent d'abord de fraises des bois succulentes. La balade inédite de 7km200 a duré 3h20, pauses comprises.
Jeudi 1er juin, 6 Isards bravent le temps incertain et se retrouvent pour une belle balade au-dessus de Beauregard en partant du parking habituel.
Jeudi 8 juin, sous la houlette de Patrick, 9 Isards partent de Taurignan-Castet pour une boucle inédite. Boucle un peu longue pour certains de 9km mais avec seulement 150m de dénivelé en passant par les Hauts de Mercenac et en descendant par Siadous. Le goûter est comme toujours bien apprécié.
Jeudi 15 juin, encore une sortie inédite. En effet, 12 Isards vont partir en voyage de Caumont à Prat. Ils sont tout excités en montant dans le bus !!! Ils font donc un retour pédestre de 7km avec 185m de dénivelé en passant par les Vieilles et Paluhau. Quel bel endroit que le pré communal de Caumont pour apprécier le gâteau au chocolat arrosé de cidre. Les conversations vont bon train et les rires fusent.
le temps n'est pas au beau fixe, cela n'empêche pas 13 Isards de se retrouver à Seix.
Ils enjambent le Salat particulièrement tumultueux après ces 2 dernières journées de pluie. Ils montent par une route forestière puis empruntent une sente bien tracée au milieu des herbes.
Quelques montées, quelques descentes et les voilà devant un grand troupeau de chèvres. Plus de montée mais une longue descente avec la compagnie de la pluie, une fois n'est pas coutume ! Ils passent devant le village de vacances de la Souleille et apprécient la halte à la halle de Seix.
Le temps du goûter, le temps d'une chanson de Michel et retour à Saint Girons. La balade de 7km a duré 2h40 en tout avec un dénivelé de 230m. Ils ont fait une moyenne de 3km par heure. Bravo.
Et, à jeudi prochain avec un nouveau programme.
Ce jeudi 18 mai, 11 Isards de Saint Pierre se sont joints à 13 Isards de Saint Girons pour une découverte pour certains d'entre eux du paysage calcaire du Plantaurel et surtout chercher, trouver et reconnaître les orchidéess.
Après avoir vu la loupe de l'orme Sully, planté du temps du duc de Sully en 1600 et mort en 1990, ils entament la randonnée par le sentier botanique parsemé d'informations sur les arbres qui le jalonnent. Des trouées dans la végétation leur permet de voir les rochers qui affleurent les champs, autres curiosités géologiques comme les dolines. Un orchis mâle, le premier !!!
Et, ce n'est pas fini, tout le long du chemin , ils verront de nombreuses variétés d'orchidées : orchis macula, à fleurs lâches, homme-pendu, bouc, pyramidal, sérapias .... voire des parterres de sérapias. Il fait bon, mais les nuages cachent les Pyrénées.
Heureusement, le vent s'est calmé car, le matin les rafales étaient assez fortes. A l'approche des voitures, ils traversent "Crabe, un hameau de quelques maisons en pierre sèche. Les anciens ne manquaient pas de rochers pour édifier des murets et leurs habitations. La balade de 6km800 se termine au bout de 2h45 avec un dénivelé cumulé de 100m. Et, tout le monde s'installe sur les bancs, les conversations continuent tout en goûtant les gâteaux au citron, au chocolat, les biscuits de Bretagne, le tout arrosé d'un sirop de thym maison, de cidre, jus d'orange ....
Rendez-vous pris en automne prochain.
En ce jeudi 11 mai, nuageux certes mais pas pluvieux, 16 Isards se retrouvent à Moulis pour continuer vers Montfaucon le Haut et ils s'arrêtent à l'embranchement de Poudadès. Ils entament leur balade par un chemin qui domine le parcours d'accrobranche de Moulis, en effet, le câble de la tyrolienne est à leurs pieds. Surprenant !
Des orchis macula jalonnent leur parcours. Ils débouchent sur une clairière. Ils s'enfoncent dans la forêt et les voici dans ce paysage fantasmagorique qu'ils connaissent bien en ayant parcouru plusieurs fois le chemin des hadas, mais depuis l'autre versant de Sourroque. Les voici au-dessus du gouffre de Degaudez.
Et maintenant, c'est l'aventure !!! Par où passer ?
à droite, à gauche, au milieu, en haut, en bas ? Les avis sont partagés !!! Ils doivent arpenter un chemin raviné par des engins forestiers. Quand c'est sec, pas de problème. Mais, il a plu et c'est devenu comme un champ de bataille boueux, vaseux... Personne n'a glissé sauf que Sylvie a mis malencontreusement son pied dans un trou. Son pied est bien ressorti mais pas sa chaussure !!! Et, Patrick farfouille dans cette boue gluante pour retrouver la chaussure !!! Non sans mal !!! Malgré ces conditions extrêmes, certaines en sont sorties indemnes, les chaussures propres comme si elles sortaient de leur salon !
Bravo, mesdames. La fin de la balade se passe sans encombre et tout le monde se retrouve près des voitures pour savourer un bon goûter et les conversations vont bon train. Ils se quittent à 18h !!!
La randonnée de plus 8km a duré près de 3h30 avec les pauses. Le dénivelé cumulé est de 315m tout en sachant que l'écart entre le point le plus bas et le plus haut n'atteint pas 200m. C'est dire que c'était vallonné.
En ce jeudi 4 mai, bien ensoleillé, 13 Isards se retrouvent sous les platanes de Castelnau-Durban.
Marie Claire est venue en voisine. Ils partent tous d'un bon pas, tout en admirant des maisons du XVIIIème siècle, siècle de la prospérité de cette bourgade.
Ils montent tranquillement par la route qu'ils quittent pour un chemin ombragé le long d'un ruisseau. Les voilà groupés devant le charmant lavoir de Francou.
Oh, quel sympathique muret ! Ils en profitent pour une pause bien méritée. Peu après, ils aperçoivent les ruines du château médiéval de Saint Barthélémy, puis, les maisons de Castelnau-Durban : la fin de cette balade inédite approche. Elle a fait 7km 300 avec un dénivelé de 165m et a duré 2h40, pauses comprises.
Et maintenant, que se passe-t-il? Notre troubadour, de retour, chante devant un auditoire attentif une berceuse basque (en français) . Merci Michel.
Encore un bel après-midi un peu nuageux certes, mais chaud qui réunit 17 Isards.
Aujourd'hui, ils restent à Saint Girons et s'en éloignent quelque peu. Ils partent donc du parking de Lédar en face de l'église et montent pour rejoindre le chemin de Lambège.
Une route les mène à Rouget, hameau sur les hauteurs après avoir eu une belle vue d'ensemble de la papeterie Matussière et Forest fermée depuis 2008. Ils descendent, admirent un pommier en fleur avec les pics de l'Arraing et de Serau au loin après avoir traversé la route de Castillon.
Les voici devant la carrière de marbre antique d'Aubert en pleine exploitation. Ils empruntent le chemin de Compostelle tout en longeant le canal de Lédar dont le courant les impressionne. Un tapis de pervenches les interpelle. Et maintenant, que font-ils ? ils s'installent pour le goûter !
Il est vrai : le réconfort après l'effort ! En effet, la balade de 8km200 a duré 2h45 avec un faible dénivelé de 115m.
Par ce bel après-midi un peu nuageux certes, mais chaud, 13 Isards rejoignent leurs 2 animateurs à Micha, un lieu-dit de la commune de Montesquieu-Avantès. À partir de Séraillès, ils suivent une piste en crête tout en admirant d'un côté la chaîne pyrénéenne du pic de la Journalade jusqu'au pic du Midi de Bigorre, eh oui, encore lui ! le sieur Valier est toujours là et de l'autre la plaine de la vallée de la Garonne. Les voici au point culminant de la balade au-dessus de Bouynéous bien connu par la profusion d'orchidées en avril-mai. Retour aux véhicules par une variante en forêt où les attend le goûter devenu habituel et aussi chaleureux. La randonnée de 6km200 avec un dénivelé de 140m a duré 2h10.
En ce bel après-midi du jeudi 16 mars, 18 participants se retrouvent dans le centre de Salies du Salat. Ils aperçoivent les ruines surplombant la ville, un des buts de la sortie Ils déambulent tout d'abord dans les rues en passant devant l'ancienne mairie, les anciennes halles et .... ils sont ébahis de voir cette fresque, témoin du passé médiéval de la commune, réalisée en 2004.
Demi-tour : ils montent sur la motte médiévale où trônent un donjon du XIIème siècle, reste du château des Comtes du Comminges et une chapelle en ruines, témoignage de l'époque romane tardive du XIVème siècle. Le panorama sur la chaîne des Pyrénées est magnifique avec évidemment le Valier.
Demi-tour : ils empruntent une route avant de s'engager sur un large chemin forestier. Surprise : des parterres de jonquilles ! Le printemps arrive avec cependant une température presque estivale. Ils atteignent le point culminant de la balade, la Vierge du mont de Poueigh érigée en 1938 en l'honneur de Notre Dame de la Paix et que voient-ils au loin devant eux ? Le Pic du Midi de Bigorre.
Ils descendent par une sente, sont en vue de l'abside de l'église templière Saint Christophe de Montsaunès du XIIème siècle. Elle est remarquable par les chapiteaux de ses portails. Les murs et la voûte à l'intérieur offrent des peintures à l'iconographie très variée. La randonnée de 4km200 avec un dénivelé de 145m a duré en tout 1h45.
Et maintenant, place au goûter pour prolonger ces moments de rencontre.
Jeudi 9 mars : 20 Isards se retrouvent au parking habituel à Saint Girons.
Le ciel est d'un bleu pur sans nuages et la température est plus que clémente. I
ls sont accompagnés par la maman de Baya.
Ils quittent à pied ce parking pour une balade à peu près inédite en passant l'ancienne voie ferrée. Ils dominent la route départementale et surtout ont une belle vue sur la cité de Saint Lizier. Ils montent par la route, traversent l'hôpital Rosès, puis descendent par un sentier forestier très éclairé par le soleil.
Enfin, ils débouchent sur les hauts de Lédar et maintenant, ils contemplent la vue sur Saint Girons. Ils sont de retour au parking , s'isolent dans un coin, ils s'assoient sur des grosses pierres pour le goûter avec gâteaux préparés par Élisabeth et Martine arrosés de cidre, bière et coca-cola. Merci à toutes les 2. C'était très bon. La balade de 6km700 avec un dénivelé de 120m a duré en tout 2h15.
Et .... que passa t-il à leur retour chez eux ? La pluie prévue se mit à tomber !!!!
Jeudi 2 mars : 16 Isards se retrouvent à Engomer. Ils sont accompagnés par Jade, une petite fille de Chantal. Ils entament une balade faite en octobre 2021.
Le temps n'est certes pas le même : ils sont un peu plus emmitouflés !!! La température est très supportable. Ils traversent le Lez et prennent le chemin qui part à travers la forêt pour atteindre les granges de Paracoch, point culminant de la randonnée.
De nombreuses pauses ponctuent cette montée. Les talus sont couverts de violettes, le printemps approche. Maintenant, c'est la descente vers Le Pouech, descente interrompue pour laisser passer un tracteur. Une dernière halte et les voici sur le chemin de Compostelle qui les ramène au parking. Aussitôt, chocolat chaud, cidre et "merveilles" les réconfortent.
Ce circuit surnommé "Le renard se mord la queue" de 5km800 a duré en tout 2h15 avec un dénivelé de 225m. Que se passe t-il en reprenant les véhicules ? Comme pratiquement tous les jeudis : il pleut !!!!
Jeudi 16 février, à Saint Girons : beau temps, presque trop chaud, surtout pour la saison. Nous étions 4 personnes : Sylvie, Josée, Geneviève et moi-même. Nous avons parcouru le chemin des Gabats en partant du palais des évêques à St. Lizier. Au retour depuis la chapelle, nous avons suivi un sentier menant devant le cimetière et nous voilà sur le parking .
Avant de rejoindre nos habitats respectifs, nous avons dégusté un moelleux au chocolat offert par Sylvie. Merci Michel et Geneviève.
Jeudi 23 février, le temps n'est pas si mauvais que prévu. 11 Isards partent à l'assaut du château de Montesquieu-Avantès depuis l'ancien hôtel des thermes d'Audinac en empruntant la voie romaine. Ce château du Moyen Âge est un exemple même d'un château dominant un terroir de défrichement. Au retour, de passage devant la mairie, ils vont voir la loupe de l'orme "Sully".
Cet arbre, planté en 1750, était mort en 1990. Puis avant de rejoindre leur véhicule, ils visitent le camping d'Audinac les Bains et les anciens thermes de style néo-classique. Chacun se met devant une colonne !!! Un bon chocolat chaud les attend au terme de cette balade de 8km100 qui a duré en tout 3 heures avec un dénivelé cumulé de 180m.
14 Isards se retrouvent au plateau de Beille que certains découvrent enneigé.
Un pique-nique les réunit sur une nouvelle terrasse de ce bâtiment récemment inauguré après de longs mois de reconstruction. Le soleil est au rendez-vous.
À 13h, ils arpentent les pistes de piétons bien damées. Le paysage est toujours aussi magnifique, ils se sentent au bout du monde ! De nombreuses pauses les amènent au carrefour des "4 chemins", puis au sommet de la balade au-dessus du lac de Laparan (1980m)... De retour aux voitures, ils dégustent ravis un bon chocolat chaud, un gâteau au chocolat et des morceaux de .... chocolat.
La randonnée de 7km300 avec un dénivelé de 217m a duré en tout 2h50.
Jeudi 2 février : 26 Isards n'ont pas résisté à profiter du ciel bleu, du soleil, de la vue sur les montagnes enneigées pour se retrouver à Lorp devant la maison natale d'Aristide Bergès, père de la Houille Blanche, laquelle maison est transformée en musée.
Les voici partis tout guillerets sur la route les menant à Sentaraille qu'ils quittent pour longer le Salat. Une "pozo" (pause eau !!!) leur permet d'en admirer les berges. Le panorama sur les Pyrénées est magnifique et le seigneur Valier veille sur eux, de loin certes.
Un large chemin les ramène à Sentaraille devant la médiathèque. À la sortie du village, un autre chemin à travers les près les conduit sur la voie verte. Un troupeau de moutons paît tranquillement, indifférent au paysage. De retour aux voitures au bout de 2h30, ils s'installent, ils continuent à papoter tout en dégustant les crêpes préparées par Josée, Martine et Sophie. Merci à elles.
Et, surtout, merci à Chantal et Michel qui ont entonné pour le plus grand plaisir de l'assistance "Les souliers" de Guy Béart.
La boucle faisait 7km700 pour un dénivelé cumulé de ..... 20m !
la plaine est sous la grisaille mais les montagnes sont dégagées et ensoleillées. 18 Isards se retrouvent à Engomer. Certes, il y a une certaine fraîcheur mais sèche et pas de vent, que demander de plus pour une randonnée qui les fait passer par Alas en longeant le Lez ?
Après la traversée de ce village, ils empruntent un large chemin pour accéder à Arrout, village qui les enchante par ces maisons retapées, son lavoir et sa mairie aux volets "bleu charrette".
D'ailleurs, ils se souviennent des travaux du moment. Ils y étaient passés le 29 octobre 2020. C'est le point culminant de la sortie. Une vue leur permet de voir l'église Saint Pierre d'Arrout de 1850, construite sur une chapelle templière dont elle conserve le portail roman. Ils prennent un sentier plus étroit, nullement boueux, puis une route peu fréquentée. Certains font un crochet pour voir la "chambre d'eau" ou bout du canal de la centrale d'Arrout et les voilà tous sur la route de Castillon.
Vite, ils la traversent et rejoignent l'ancienne route de Cescau qui les ramène à Engomer face au parking : boucle parfaite de 8km avec un dénivelé de 180m qui a duré en tout 2h35. La pente était douce tout le long du chemin. Un large abri leur permet de profiter du chocolat chaud, des chouquettes, de retrouver l'un des leurs momentanément privé de sorties et d'entendre la balade de Michel après cette belle ballade.
malgré la soi-disant mauvaise météo, 11 participants se retrouvent à La Bastide de Sérou.
Patrick part à Montels, les autres prennent la voie verte qu'ils quittent pour descendre à Manchifrotte. Le soleil à peine voilé leur réchauffe le corps et le cœur. Un cadran solaire les interpelle. Ils traversent la départementale et toujours aussi doucement, ils montent jusqu'à l'école de Montels.
Peu après, ils prennent une piste, et les voilà qui crapahutent à travers bois. Ils découvrent émerveillés les restes de la mine de Montels appelée aussi mine de Lina : les vestiges de la plate-forme, la tour d'arrosage, la cheminée principale d'une quinzaine de mètres de hauteur, une cuve ... Certains même partent à l'aventure et trouvent une cavité qui aurait pu servir d'entrepôt de matériel et peut-être même de la dynamite !!! Des stalactites de calcique pendent au-dessus de l'entrée.
L'inventaire national du patrimoine naturel le présente comme le seul site du XIXème siècle en France à associer production de cuivre et d'argent.
Pour plus de précisions, consulter le livre de Claude DUBOIS "LES SIMON". Demi-tour jusqu'à l'école. Patrick part avec les chauffeurs pendant que les autres se régalent d'un bon chocolat chaud et de biscuits. La température est vraiment clémente. Cet aller de 6km700 a duré 2h30 avec la visite du site et 160m de dénivelé. Jeudi prochain, programme prévu du côté d'Engomer.
Jeudi 12 janvier 2023 : sous un très beau ciel bleu, 22 participants se retrouvent à la mairie de Gajan. Ils gravissent un vallon et se trouvent sur un beau chemin tapissé de feuilles mortes qui bruissent sous leurs pas. La porte sur l'échelle de la palombière est toujours cadenassée ! Cf reportage du 14 octobre 2021.
Le cheminement avec une série de courtes montées et descentes les mène devant la résurgence de la Touasse près du hameau Bordes-Vieilles. Un sapin avec ses boules est installé sur le chemin !!! Demi-tour, la lumière n'est pas la même, ainsi, ils découvrent un parterre de perce-neige.
De retour aux voitures , ils écoutent tout en goûtant leur troubadour chanter la ballade "ECHO". Cet aller et retour de près de 7km a duré 2h30 pour un dénivelé cumulé de 150m.
À jeudi prochain. Suivant le programme mensuel établi, ils iront de La Bastide de Sérou aux mines de cuivre de Montels.
Jeudi 5 janvier 2023 : Après la trêve de Noël de 15 jours, il faut bien se reposer, sous un très beau ciel bleu, 21 participants se retrouvent à Audressein. Ils traversent à nouveau la Bouigane mais à pied et montent un escalier qui les mène à la route principale de Castillon en Couserans.
Du pont, ils admirent la roue d'un ancien moulin, déambulent ensuite dans les vieilles rues en pente de ce village. C'est un voyage dans le passé avec des tableaux accrochés au mur. Ils descendent à la centrale de Castillon, puis empruntent alors la route jusqu'à Salsein.
Même aujourd'hui, la chaleur se fait un peu sentir. Il y a toujours du soleil et la vue sur le piémont est magnifique. Le village de Salsein les enchante : le lavoir, l'église.... Enfin, ils descendent toujours par la route. Lors d'une pause, un panneau avec une photo des années 50 les attire une fois de plus. Il faut dire que cette rando a été faite le 4 août dernier. Lors d'une rencontre avec un chauffeur de 4X4 : 3 d'entre elles entament une conversation avec ce monsieur fort sympathique : "Oh, dit-il, mais je vais avoir 70 ans et je viens de couper du bois". "Ah bon, mais je vais avoir 79 ans dit l'une d'elles, et les autres "ah mais oui, moi 78 ans".
Surprise du chauffeur prénommé Bernard qui a bien bourlingué dans sa vie : " Ouh, mesdames, vous avez de nombreuses années devant vous" !!!!! Bon, on continue. Cette fois-ci, le chemin de traverse est trouvé et voilà nos 21 Isards de retour à leurs véhicules. Tables, sièges sortis des coffres et ils tirent les rois devant un charette pleine de cadeaux, mais ce n'est pas pour eux !!!
À jeudi prochain. Suivant le programme mensuel établi, ils partiront de la mairie de Gajan.
Malgré le temps incertain, ce jeudi 15 décembre, 18 Isards sont réunis dans le quartier Palétès de Saint Girons pour un circuit fait le 12 décembre 2019 mais avec des variantes. Ils traversent le camping de Palétès après avoir gravi bravement les marches y menant.
À Gouaset, ils continuent sur la piste puis bifurquent à gauche, un talus à franchir et les voilà dans un champ qu'ils tracent tout en zigzagant. Le soleil leur tient compagnie. Ils arrivent à Herré d'où ils ont une belle vue sur la plaine.
Des ânes ne sont vraiment pas contents de leur présence !!!
La descente par Pégoumas n'est plus qu'une formalité tout en admirant le beau point de vue sur Saint Girons, Eycheil et Ouerdes. Des flaques d'eau sont les bienvenues pour laver les chausures !!! Ils ne sautent pas dedans, ce n'est pas l'envie qui leur manque !!!
Un chemin inédit les ramène sur la "voie ferrée" maintenant piste piétonne. La statuette de Sainte Thérèse les interpelle toujours. Ils sont de retour aux véhicules où les attendent gâteaux et chocolat chaud. Un grand moment de bavardage car la balade de 5km n'a duré que 2h10, avec un dénivelé de 200m. Bonnes fêtes de fin d'année.
Rendez-vous pris le 5 janvier pour de nouvelles balades dans le Couserans.
14 participants dont 2 futurs Isards. Bienvenue à Élisabeth et Jean Marie.
Le temps est nuageux mais clair, contrairement aux prévisions météorologiques. Ils partent de Lacourt pour une balade faite le 5 décembre 2019, se reférer au reportage de ce jour-là pour plus d'informations. Une vue sur le Salat marque le début de la balade.
Après Régule caractérisé par une maison habitée, la route devient un sentier dans la forêt qui les mène jusqu'à la croix de la Quère. Une halte bienfaitrice leur permet d'admirer le Bouirex enneigé. Les feuilles jaune vif des arbres scintillent au soleil : c'est magnifique. Ils continuent jusqu'à Araux où les attend un véhicule et le goûter. Un chocolat chaud, du thé, de la bière leur sont proposés avec des biscuits.
L'ambiance est chaleureuse. Le chauffeur.du "food-car" emmene les chauffeurs à Lacourt et les autres descendent par la route en lacet.
Tout le monde se retrouve près de la passerelle sur le Salat. La balade a duré plus de 2 heures sur un parcours de près de 6km500 avec un dénivelé de 200m.
Jeudi 1er décembre, 18 Isards se retrouvent à côté de l'église de Buleix près de Castet d'Aleu.
Ils partent pour une boucle de 7km300 avec un dénivelé de 240m. Ce circuit leur avait été proposé le 28 novembre 2019, autrement dit à la même époque. Ils montent, donc, sur la route qui les mène à Boussan.
Tout le long du chemin, ils admirent leur Seigneur, le Valier, vite caché par les nuages et les merveilles couleurs que l'automne enfin arrivé peut leur offrir. Surprise ! sur un talus et dans un pré au-dessus, des dizaines de trémoules.
Qu'à cela ne tienne, malgré leurs douleurs (!!!), ils gravissent le talus et même rampent sous les barbelés pour ramasser en 5 minutes plus de 2 kg de trémoules !!!
Arrivés à Boussan, ils empruntent un chemin de terre qui les ramène sur la route asphaltée et les voilà de retour. La balade a duré en tout 2h30. Ils écoutent bien encapuchonnés la ballade de leur troubadour, Michel.
Ah non, autant à la montée, il faisait presque chaud, maintenant, les mains restent dans les poches : pas possible de tenir un verre !!!!
Tout le monde retourne à St Girons et à jeudi prochain pour un aller simple Lacourt-Araux.
Jeudi 24 Novembre, 20 Isards se retrouvent sur la place centrale de Beauregard, quartier de St Girons.
Après les trombes d'eau de ces derniers jours, les animateurs ont décidé d'éviter le chemin en forêt qui risquait d'être assez glissant. Ils descendent alors en s'acheminant vers Eycheil par une piste.
Ils longent ensuite le Salat assez tumultueux aujourd'hui. La plaine d'Eycheil présente un paysage bucolique avec des vaches qui paissent tranquillement. Le soleil est présent pour le grand plaisir des Isards.
Ils franchissent une première passerelle et toujours longeant la rivière, ils arrivent à la deuxième passerelle récemment inaugurée. Et, ils terminent leur "promenade" par la montée du jour de 45m. La boucle de 6km a duré 2 heures. Maintenant, place au goûter et ils papotent.
Mais au bout d'un certain temps, une invitée arrive ; la pluie !!!
Tout le monde en voiture et à jeudi prochain avec le programme des 3 sorties du mois de décembre.
Jeudi 17 Novembre, 23 Isards se retrouvent dans un autre parking du centre de Saint Girons pour une balade faite le 10 Février dernier.
Surprise, ils la font dans le même sens !!! Une fois n'est pas coutume ! Donc, ils attaquent la même montée tranquille jusqu'à se trouver sur un chemin de crête qui les mène au cap du Tuc. Aujourd'hui, la présence des nuages les empêche de profiter pleinement de la vue, mais ils admirent les couleurs de l'automne. Ils aperçoivent, néanmoins, la croix du Montcalivert. Une bonne descente les amène à Pégoumas, ils retrouvent le bitume. Après avoir déambulé dans les rues tortueuses de Saint Girons, ils retrouvent leurs véhicules et surtout les 3 tables pour le goûter. Les conversations reprennent de plus belle, quoique, elles n'ont pas cessé !!! Sauf peut-être dans les montées !!! Le soleil s'invite pour le grand plaisir des participants.
La randonnée de près de 4km600 d'un dénivelé de 140m a duré près de 2 heures.
Jeudi 10 novembre, 21 participants se retrouvent près du cimetière de Mauvezin de Prat pour une boucle faite en mars. L'attaquant en sens inverse, ils se trouvent dans un sous-bois qui débouche sur une verte prairie avec vue sur Saleich.
Ils se sont expatriés !!! La végétation n'est pas la même et pourtant, l'automne ne semble pas encore arrivé : les arbres ne sont pas dénudés comme les bras de nos randonneurs d'aujourd'hui !!!!
Quel temps magnifique ! Des photos de groupe ponctuent leur cheminement : Mauvezin de Prat, Saleich Vieille enfin Francazal. Dans Saleich Vieille, Sophie ne peut s'empêcher de grimper à une échelle posée sur un muret à 1 m du sol !!!
L'échelle est bien attachée mais que d'un côté alors prudence !!! Des chevaux dans un pré accourent vers eux. Une carotte avec ses fanes leur est proposée. Ils ne refusent pas ! Plus loin sur la route : une salamandre.
C'est le retour aux voitures et vive le goûter ! Certains sont équipés pour un meilleur confort !!! C'est une boucle de 7km400 avec un dénivelé de 185m qui a duré 2h25, pauses comprises.
Les animateurs proposent de leur présenter un programme mensuel. La semaine prochaine, ce sera le quartier de Claire Colline.
Jeudi 3 novembre, 16 Isards et la petite-fille de l'un d'entre eux retrouvent leurs 2 animateurs au parking de covoiturage de Montjoie. Quelques centaines de mètres plus loin sur la voie romaine, ils laissent leurs véhicules. Ils attaquent en sens inverse une balade faite le 17 décembre 2020. Ils commencent par traverser le village d'Audinac. Puis, le chemin devient boisé, les prés sont verdoyants, la température est très clémente, le soleil brille ... Que demander de mieux après la grisaille de ce matin. Ils font une rencontre inhabituelle : 6 chevaux avec 5 jeunes cavaliers et cavalières et leur monitrice. Demi-tour et 3 ânes quettent un peu de nourriture mais plutôt des caresses. Ils longent la plantation de sapin de Noël puis le lac de Belloc, finissent la balade par un bout du chemin de. Compostelle. Pendant l'installation du goûter, des grosses gouttes tombent mais pas assez pour leur faire renoncer à ce moment tant attendu : entendre Michel jouer de l'harmonica et chanter 2 ballades dont les roses de Corfou. On ne s'en lasse pas.
Au moment des applaudissements, cette fois-ci, la pluie insiste et branle-bas de combat : tout le monde aux abris. À quelles rafales de vent ont-ils échappé ?!!!!La balade de 7km500 a duré 2h40, pauses comprises, avec un dénivelé cumulé de 135m.
Jeudi 27 octobre, 17 Isards retrouvent leurs animateurs et leurs 2 petites-filles à la salle de fête de Gajan.
Bienvenue à Martine et Eddy, bon retour à Christelle, Claude et Josy.
Ce circuit a été proposé le 10 mars dernier. Se référer au reportage de ce jour. Aujourd'hui, il fait très clair et les Pyrénées sont découvertes. La lumière est assez spéciale comme on le verra avec une vue sur le Valier.
Surprise : la palombière a disparu mais l'épave est toujours présente dans ce clair sous-bois. Les arbustes donnent de l'ombre et un peu de fraîcheur. Même descente : Chaumarti, son verger et son superbe arbre de houx avec toutes ses boules rouges (Noël est dans 2 mois !!!), la mairie de Gajan et les voici au point de départ. La fontaine est même tarie en ce moment. Au parking, un goûter les attend.
Mais, surtout, Michel sort son harmonica et ensuite entonne une superbe ballade. Et, la balade de cet après-midi de près de 6km avec un dénivelé cumulé de 210m a duré 2h25, pauses comprises. Vivement jeudi prochain.
jeudi 20 octobre, 16 Isards partent du parking de la Pucelle connu par de nombreux Isards de BSL comme départ entre autres pour le Tuc du Coucou, le port d'Orle, Montgarry ... Quel plaisir de revoir Josy et Claude, piliers de notre groupe, absents depuis 2 ans. Une photo et la troupe s'ébranle sur le GR10 par un chemin ombragé, des lacets en milieu herbeux et au bout d'1h30 les voici sur la voie Decauville.
Ils sont récompensés de leurs efforts en découvrant les vestiges de cette voie avec ses rails et ses wagonnets. (Des recherches avaient eu lieu entre 1899 à 1907, mais le minerai venant d'Espagne n'a jamais été exploité.
Beaucoup de travail pour rien). D'autres points remarquables vont ponctuer leur progression : une niche, un premier tunnel, la galerie de rangement des rails pendant l'hiver (0,60 m de largeur de l’ingénieur-inventeur français Decauville), la galerie de prospection, les 2ème et 3ème tunnels. jusqu’à la jonction avec le GR10 qu'ils avaient quitté. Un passage avec une main courante ne les décourage pas et ils essuient quelques bourrasques assez impressionnantes.
C’est alors la descente en lacets bien tracés dans la hêtraie. Au bout de 3h30, ils apprécient le goûter ! Ce circuit de près de 9km avec un dénivelé de 400m leur a permis de découvrir ou redécouvrir la montagne.
Jeudi prochain, ce sera plus cool, promis !
19 participants retrouvent leurs 2 animateurs à Aubert, près de la carrière de marbre.
Petit rappel : La Carrière de Marbre d’Aubert fournit un marbre très connu et réputé, de grand standing et de luxe, exporté dans le monde entier, le fameux Grand Antique. Ce marbre unique au monde est aujourd’hui exploité par la société Escavamar, une entreprise italienne, siégeant à Moulis, et participant à la vie économique locale, mais sa production remonte à l’époque romaine.
Le temps est dégagé contrairement aux prévisions. Ils sont ravis de retrouver leur troubadour, Michel, et surtout d'accueillir de nouveaux compagnons de rando. Bienvenue à Élisabeth, Martine, Sylvie et Guy. Ils partent pour une boucle de près de 7km pendant 2h25 avec un dénivelé de 240m. La troupe s'élance sur la route d'Ussau, se croyant tranquilles. Mais, ce n'est pas sans compter les travaux de l'installation de la fibre.
En l’occurrence, ce sont des camions et des camions qui les doublent ! A l'entrée de ce hameau, une toute petite maison les interpelle : sur le cliché, on ne se rend pas compte de l'échelle !!!! Puis, ils quittent la route pour un chemin ombragé, parfois dégagé. Et, tout en descendant, Michel entonne un air repris par certains !!! Ils arrivent à Moulis où Patrick montre un angle de maison fait avec un bloc du marbre local. Une fois arrosé, les nervures sont bien mises en évidence. Après le pont, ils longent le Lez jusqu'à l'autre pont et ils retrouvent leurs véhicules. Ils s'installent sur le muret au soleil, le long du goûter et non autour !!! Alors, ils écoutent, ravis, Michel; certains dans l'assistance participent au refrain et enfin à 3, ils nous offrent un concert !!!! La bonne humeur est toujours là.
Merci à toutes et à tous. Vivement jeudi prochain !
Jeudi 6 octobre, 18 participants retrouvent leurs 2 animateurs à Tourtouse.
Le temps est couvert mais la température est clémente. Ils partent pour une boucle de 6km500 pendant 2h30 avec un dénivelé de 150m. Tourtouse , bien connue par les Isards pour son restaurant, mais aussi pour son église, son donjon clocher et surtout ce fut la résidence des évêques du Couserans (se référer aux reportages du 23 janvier 2020 et du 10 mars 2022).
La troupe s'élance sur la route puis sur un chemin herbeux et s'arrête devant un panneau indiquant un ancien moulin.
Ils franchissent alors un gué sur le Lens. Pendant la montée vers la route, un éboulis de pierre bien blanche interpelle certains d'entre eux. Et, ils arrivent à Bédeille. Un petit établissement thermal fut inauguré en 1870.
Il fermera exactement un siècle plus tard...
Le village n'avait pas tous les attraits ludiques des stations thermales connues. Un grand père de Roger Fauroux (1926-2021) ministre et maire de St Girons était originaire de ce village.
Revenons à nos randonneurs : ils entrent sous le porche de l'église Saint Michel, il y a une statue de Jeanne d'Arc (!). Un clocher mur à 3 cloches surplombe cette église.
Et, que voient-ils? DU ROSE !!! photo de toutes celles qui portent du rose même les chaussettes !!! Un petit détour pour admirer l'ancienne école et après 2 km de route, ils prennent sur la gauche un chemin qui les ramène à Tourtouse après avoir dégusté de bonnes figues. Ah, les gourmands ! De nouveau, ils franchissent un gué sur le Lens.
Au retour, certains vont voir la dernière installation de Tourtouse : le théâtre de plein air de 250 places construit en 2015 sur les remparts de la motte médiévale. Un goûter les rassemble autour de gâteaux, bière, coca, jus d'orange et les conversations vont toujours bon train.
Bon, il faudrait rentrer ! Á jeudi prochain.
Encore un bel après-midi réunit 13 participants à cette randonnée. En l'absence de leurs animateurs, ils décident d'un commun accord d'aller à Montégut. Partant du cimetière de ce village, ils atteignent le col de Belein en prenant le chemin des Carriers qui ont exploité une carrière de marbre noir jusqu'en 1978 . Photo oblige au col devant la fameuse cabane des chasseurs. Puis, ils redescendent par la route pour rejoindre leurs véhicules. C'est une boucle de 6km400 avec un dénivelé de près de 200m.
En ce bel après-midi 1es 2 animateurs retrouvent 15 participants de Saint Girons sur le parking près du pont d'Engomer dont 3 futurs (?) Isards. Ils attaquent la balade par l'ancienne route de Cescau. Ils empruntent peu après sur la gauche un chemin de terre. En vue de la chapelle de Saint Michel, ils bifurquent encore à gauche et une petite montée les mène au sommet de la journée. La vue sur 360° est magnifique sur la vallée du Lez et s'étend jusqu'à la Mail de Bulard et le Maubermé. Cette chapelle construite au XVème siècle a servi entre autres comme décor pour le film "Le retour de Martin Guerre". Le temps est un peu nuageux, la température clémente. Demi-tour et partant sur la gauche une fois de plus, et oui, c'est une boucle !!!, ils traversent Loutrein, hameau qui possède de belles maisons anciennes à balcons, puis descendent par un chemin étroit, traversent un ruisseau enfin remontent sur Astien qui a été un village relativement important et l'est encore; l'ancienne école en est la preuve. En ce temps de sécheresse, il est rassurant d'entendre le doux chuchotement du ruisseau d'Astien. Ils suivent la route goudronnée puis prennent à droite un chemin qui les ramène au bord du Lez qu'ils longent pour arriver à Engomer où les attend un goûter. C'est une boucle de 6km500 avec un dénivelé de 185m qui a duré 2h20.
Ce jeudi 8 septembre, ce sont vraiment les retrouvailles. 18 Isards, pas les mêmes que jeudi dernier, se regroupent près du cimetière de Lescure. Ils empruntent la route en crête qui les mène à Rimont où ils avaient été le 29 avril 2021. Ils remarquent les soubassements bâtis avec le marbre de la carrière d'Espiougue, autre rando le 4 février 2021. Une photo sur la place de Rimont et ils descendent par un chemin herbeux vers l'abbaye de Combelongue. Cette abbaye du XIIème siècle est construite entièrement en briques roses ce qui est inhabituel ici où la pierre abonde, cette abbaye romane est l'un des rares témoins de l'influence mudéjar. (Les mudéjars étant des musulmans devenus des sujets des royaumes chrétiens de Léon, Castille, Aragon et Portugal lors de l’expansion de ces royaumes vers le sud durant la Reconquista). Oui, aujourd'hui, ils font une boucle. Le temps est magnifique et la chaleur est très supportable. Ils sont sur la voie verte et certains reconnaissent une portion déjà prise. Puis, ils tournent à droite, traversent la route de Foix et après une légère montée douce, se retrouvent à leur point de départ. Tout le monde s'installe et un goûter leur est offert agrémenté des chants de leur cher troubadour qui leur a tant manqué cet été. Il est tellement sollicité qu'ils ont droit à un récital et 3 d'entre eux l'accompagnent. Quel merveilleux moment ! Ils n'arrivent pas à se quitter. C'est chose faite à 17h30 passées !!!! C'était une boucle de 8km et 120m de dénivelé. Vivement jeudi prochain !
En ce jour du 1er septembre, une nouvelle année débute. 18 Isards se retrouvent à Caumont. 2 nouveaux sont parmi eux : bienvenue à Christine et Pierre. Félicitations à nos 4 Isards qui ont participé à la marche des 10km organisée lors du Marathon des Oussaillès dimanche dernier. Et, bon retour à celles et ceux qui reviennent après quelques mois d'absence. Le temps est superbe contrairement aux prévisions météo. Les choses sérieuses commencent en prenant les véhicules pour éviter une marche fastidieuse et un dénivelé important. Après la photo du groupe devant la cabane des chasseurs, ils montent par un chemin large, convivial, chemin qui serait agréable si il n'y avait pas toutes ces carcasses de camions, de tracteurs, de quais de déchargements envahis par les ronces. C'est un peu dommage de voir cette nature vandalisée. Ils passent près du hameau de Gèle (7 maisons, 7 ménages, 23 habitants) et sont sur une route vraiment très peu fréquentée. Ils bifurquent dans un bois où par moment, des trouées leur permettent d'admirer le paysage, notamment, l'aérodrome d'Antichan avec Saint Lizier au fond. Même, ils aperçoivent la croix de Montcalivert. Une belle surprise les attend : une cabine téléphonique !!! Un barbecue sur 3 roues, ne parlons pas du reste, tentes éventrées, chaises retournées .... Plus tard, une petite collation leur est servie, merci Christine. Une descente sur un terrain schisteux avec des galets ralentit le rythme. Ils passent devant un centre équestre flambant neuf, et arrivent ainsi au-dessus du stade de Caumont. Une dernière photo sur un joli petit pont et les voilà devant leurs véhicules. Nenni, ils sont là haut. Qu'à cela ne tienne, certains étaient restés ici, Chantal amène les chauffeurs au départ de la randonnée. En attendant, les conversations vont bon train. La balade inédite de 7km avec un dénivelé de 160m a duré 2h40. Vivement jeudi prochain.
Cette rando a réuni 15 participants de Saint Girons; il est vrai que la famille Campé est toujours bien représentée !!! Il fait beau, la température est idéale pour randonner. L'idée d'aller au col d'Ayens est maintenue. À 9h45, ils partent du col par un large chemin forestier. Ce col se situe dans le massif de l'Arize en limite du territoire des communes d'Erp et de Soulan. Les conversations vont bon train, vu qu'ils sont 3 voire 4 de front !!! Après avoir marché au milieu d'une forêt dense, ils découvrent la chaîne couserannaise au-dessus d'un champ de fougères. Ils sont émerveillés. De chaque côté, ils remarquent beaucoup de balsamines de l'Himalaya (espèce d'Impatiens). Ils atteignent ainsi le col Bès. Ils prennent alors un large chemin assez pentu, mais cela ne dure pas longtemps et au sommet des mûriers de chaque côté. Les gourmands se délectent !!!! Un rocher faisant penser une tortue les interpelle. Et voilà, la boucle est bouclée. Ils admirent encore le paysage depuis la table d'orientation et se retournant, ils aperçoivent 2 tables de pique-nique. Ils s'installent donc et trinquent !!!
La balade de 6km800 a duré 2h20 pauses comprises avec un dénivelé cumulé de 220m. Les nuages arrivent, il est temps de se quitter. Jeudi prochain, début de la saison 2022-2023.
Cette rando a réuni à 9 heures 14 participants de Saint Girons; il est vrai que la famille Campé était bien représentée !!! Le projet d'aller au col d'Ayens a été vite abandonné, les nuages sont vraiment trop bas. Alors, ils font le tour du château de Prat, boucle faite le 13 mars 2020, dernière sortie avant le 1er confinement. Ils partent de la poste, une petite montée les mène sur une route d'où ils ont une vue inédite sur ce château. Suivant un chemin empierré après la mise en place de la canalisation du gaz dans les années 90, ils revoient la bergerie où les moutons bêlent à qui mieux mieux. A Payssas, ils franchissent la Gouarège qui alimentait dans le temps un moulin et que voient-ils ? des poissons qui frétillent : des truites ? des brochets ?....ou ?.... Ils sont sur la route de Cazavet qu'ils quittent rapidement pour monter à la très jolie chapelle du calvaire. Déception : c'est grillagé, ils ne peuvent atteindre la corde pour faire sonner la cloche ! Des grands enfants !!! Le petit vitrail attire leur attention puis, ils descendent le chemin de croix, déambulent dans les rues de Prat, tout en admirant les belles maisons à galerie, et les voici revenus à leur point de départ. La balade a duré 2 h 25 sur un parcours 6km 500 avec un dénivelé de 130 m. D'ailleurs, le temps est vraiment incertain pour le pique-nique, alors, à pied ou en voiture, ils s'approchent de la nouvelle halle. Une surprise les attend : une table carrée avec 4 bancs. Et, tout le monde s'installe et papote mais, au dessert, la pluie tombe plus drue et branle-bas de combat, ils s'abritent sous la halle pour finir le déjeuner avec café, rhum arrangé ....
Vivement jeudi prochain avec le soleil.
Sous un beau ciel bleu, 8 participants partent de la Ferme de Cazalas près de Montesquieu-Avantès, ferme qui propose des chambres d'hôtes, des produits fermiers, des visites .... Ils avancent dans un paysage typique du karst : lapiaz, dolomie, doline, puis descendent dans une faille de la falaise par un chemin très ombragé. Ce sentier débouche sur un paysage plus verdoyant. Après avoir franchi plusieurs clôtures, ils se trouvent sur un pont au-dessus du Volp, fortement à sec en ce moment. Ils rejoignent Bourch qu'ils reconnaissent pour y avoir admiré des orchidées avec le groupe de Saint Pierre le 13 mai dernier. Le chemin du Ratabou les ramène aux voitures tout en admirant sur leur gauche la chaîne des Pyrénées depuis le seigneur Valier jusqu'au pic de la Calabasse et le pic de la Pale de Rase. La balade de 6km 500 avec un dénivelé de 115m a duré 2 heures. Maintenant place au pique-nique avec 2 invités : le neveu de Sophie et sa fille.
À jeudi prochain.
Sous un beau ciel bleu, 7 participants partent de la piscine de Castillon en Couserans, montent un escalier et se trouvent sur la rue principale. Du pont, ils admirent la roue d'un ancien moulin, puis déambulent dans les vieilles rues en pente de ce village. C'est un voyage dans le passé avec des tableaux accrochés au mur. Ils sont interpellés par le rideau anti-mouches fait avec des capsules de bouteille !!! Ils descendent à la centrale de Castillon devant laquelle Patrick donne des explications. Un chemin très ombragé les mène jusqu'au barrage et la retenue d'eau, retenue qu'ils n'ont pas pu voir lors d'une précédente sortie. Ils empruntent la route jusqu'à Salsein. La chaleur se fait un peu sentir. Mais, il y a toujours du soleil et la vue sur le piémont est magnifique. Le village de Salsein les enchante : tous ces balcons fleuris, la fontaine, la mairie .... Enfin, ils descendent toujours par la route qu'ils perdent mais qu'ils retrouvent après une légère erreur d'aiguillage. Lors d'une pause, un panneau avec une photo des années 50 les attire. Le pré existe toujours !!! Jugez-en. Plus tard en contre-bas, ils aperçoivent Audressein et la chapelle de Tramezaygues, très connue pour ses fresques et inscrite au patrimoine de l'Unesco. Sitôt franchi le Lez, ils arrivent à leurs voitures. Comme d'habitude, branle-bas de combat pour installer tables et sièges pliants au bord de la rivière. Et, ils papotent longuement autour des victuailles apportées par chacune et chacun. Cette balade sera proposée ultérieurement avec un raccourci. Le cheminement est facile avec peu de pente. À jeudi prochain.